Bonjour ! Avant de commencer, je tiens à dire que ceci est une présentation de la famille et de son histoire, et que l'aventure de Dolores et de sa tribu, viendra juste après. Excusez-moi si jamais ceci n'est pas conforme à un challenge ordinaire, mais je ne savais pas comment m'y prendre au commencement pour introduire une explication fictive à ce challenge. Donc j'ai fait avec ce que j'ai trouver en stock dans ma tête. Après, si cela ne dérange personne, pourriez-vous s'il vous plaît me donner des conseils pour insérer mes captures d'écrans sur le site ? Parce que là, je viens d'insérer des images de la gallerie sur internet, mais lorsque j'ai essayer d'insérer une capture d'écran à partir de mon ordinateur, ça ne voulait pas. Merci d'avance, et bonne lecture !
Excusez-moi si l'histoire est ennuyante et dénuée de sens, mais je voulais juste rendre le challenge intéréssant et l'introduire. Je ne sais pas si c'est autoriser, mais je supprimerais cela sinon...
Chers inconnus, vous que la curiosité irrésistible à délibérément emmenée sur ce récit familial des plus singuliers et des plus infernaux, approchez et, si jamais intérêt il vous prend à un moment, alors plongez vous dans une lecture réalisée par une joueuse misérable et pitoyable, racontant l’épopée romanesque d’une protagoniste cherchant à retrouver la grandeur passée des siens, et à convertir les anges en démons. Entendez la curieuse histoire de la famille Martyre, des sœurs de l’oubli, de la fraternité et de l’affection d’une aînée aimante luttant corps et âmes contre la cruauté d’une Destinée malheureuse. Si votre cœur vous en dit, à leurs identités vraiment hors-du-commun veuillez ne pas rire, car leurs existence est actuellement bien difficile à vivre. Entre peintures et éducation. Entre couches souillées et pinceaux d’aquarelle. Entre pleurs et sueurs. Admirez ce que l’avenir peut vous imposer de plus cruel dans un jeu de simulation de vie, où infortunément, certaines anecdotes sont loin d’être plaisantes. Tel les romains en manque de divertissement, et aussi affamés de douleurs humaines qu’un fauve s’attaquant à un chrétien condamné à mort, observez le quotidien obsolète d’une famille vraiment pas ordinaire.
Il y bien longtemps, dans l’enceinte du petit quartier pourtant sans histoires d’Oasis Spring, vivait un homme sans scrupule du nom de Juan Martyre, qui de femmes en femmes, de domiciles en domiciles, courait sous leurs jupons et trompait continuellement son épouse, une femme plus toute jeune, mais également pas tout à fait vieille, appelée Nathalie Martyre. Depuis qu’elle était passée au stade d’adulte, quatre mois après leurs mariage, Juan la méprisait secrètement pour sa beauté déchue et sa laideur dorénavant visible, et priait ciels et terres pour une amante plus digne de son tempérament vicieux, regrettant amèrement fiançailles et lune de miel. Juan Martyre tomba un jour amoureux, d’un désir superficiel, sans que bien entendu rumeurs il y eut, d’une merveilleuse femme appelée Eveline Eden, qui renvoya doublement l’amour que nourrissait Juan à son égard. Sauf qu’il était véritable, loin d’être platonique ou encore fondé sur un physique attrayant, mais bel et bien d’une pureté étincelante, immaculée. Hélas ! Après quelques journées où ils s’abandonnaient à de délicieux moments d’intimité sous les couettes et des rencards romantiques, Nathalie découvrit la supercherie, et Juan, pour se protégé de la fureur de sa femme, délaissa Eveline, et accessoirement, lui attribua maux et pêchés pour le simple fait d’avoir été sa concubine. Au courant de la tromperie, de la trahison, Eveline sombra dans une dépression nerveuse sans précédant, où, après avoir découvert que fécondation il y avait eu, et qu’une nouvelle vie s’apprêtait à voir le jour, décida de survivre en fumant et avalant boissons alcoolisées, pensant ainsi pouvoir avoir au moins conscience tranquille en condamnant ainsi l’enfant qu’elle avait eu de cet être méprisable.
Mais contrairement à son désir, elle accoucha quelques mois après d’un bébé miraculeusement en parfaite santé, et qui ne possédait aucun trouble physique ou psychique, du moins pour le moment. Alors, désespérée à l’idée de voir la progéniture de son bourreau aussi pétillante de vitalité, elle quitta ce monde par le doux baiser étouffant d’une corde enroulée à son cou, ayant eu le temps d’informer le personnel de l’hôpital du nom du paternel, en guise de revanche. Ainsi, Juan se retrouva avec son premier enfant illégitime (du moins était-ce une évidence pour lui), qu’il prénomma en présence de sa femme ulcérée, Pandore Martyre, car il la considérait comme une fille faiseuse de trouble, et indigne de confiance de part le fait qu’elle était d’un sang indésirable. Cela plongea Nathalie dans la satisfaction, mais pas assez pour l’empêcher de nourir une condescendance meurtrière envers celui qui lui avait fait vœux de passion éternelle. Folle de colère, Juan réussit néanmoins à appaiser la Némésis de cette bourgeoise, en lui faisant remarquer après une visite médicale, car l’impétueuse femme se plaignait d’un mal de ventre et de vomissements, qu’une autre petite fille ou petit garçon, qui cette fois serait de son sang, attendait d’arriver au monde. Juan fut ravi de cette nouvelle réjouissante… Jusqu’au moment qu’on leurs dévoila le sexe de l’enfant.
C’était une fille. Une future humiliation pour Juan, démon machiavélique qu’il était, fils de Lucifer. Pour lui, une bouche de trop à nourrir, mais impossible à avorter désormais, mais un cadeau divin pour sa mère, qui pourtant couverte de déception à l’idée qu’elle soit de sexe féminin, décida d’en fait une femme au foyer parfaite, au grand désarroi des féministes. Elle l’appela Marie-Ange à sa naissance, car celle-ci étant destinée à devenir aux yeux de sa mère une fillette angélique et modèle, Quels parents déplorables…. Mais quels enfants pourtant magnifiques…. Pandore, ayant héritée d’un œil bleu de son père (qui avait deux yeux de couleurs différentes, l’un violet et l’autre bleu), et Marie-Ange, tenant tout du physique de sa mère (qui avait elle aussi les yeux violets) hormis la mocheté qui ressortait intérieurement et extérieurement de sa mère corrompue. L’une maltraitée, et l’autre délaissée par son père….
Tous semblait retourner dans l’ordre (d’une certaine manière, pour les relations parentales), lorsque, furieuses et poussées par l’injustice de leurs conditions, d’anciennes concubines mises de côté par Juan vinrent réclamer avec détermination le lien de parenté de cet amour volage avec leurs… filles, qui venaient de naître quelques mois plus tôt. Innocentes et insouciantes, nées dans l’intervalle qui sépara la nativité de Pandore et Marie-Ange, elles étaient au nombre de cinq, cinq petits chérubins, cinq filles reconnues par la municipalité comme étant filles de Juan, mais non-reconnues par celui-ci.
Il y avait deux adorables petites jumelles, la charmeuse et sociable Aimée-Désirée, ainsi que sa sœur semblable, qui portait le nom de Mercedes. Toutes les deux nées d’une union entre Juan et Zahra Gahiji, une femme d’origine africaine qui n’avait pas du tout apprécier que Juan lui fasse miroiter une vie utopique, pour après l’envoyer dans le néant avec son ventre porteur de vie. Les deux petites, comme les autres, n’étaient au courant de rien, et croyaient que tous cela faisait parti d’une simple visite chez un ami de leurs mère. Toutes les deux avaient héritées du second œil verron de leurs père, et des cheveux noirs crépus, mais également, de la peau de leurs mère.
Une autre, Soledad, née de la relation plus qu’amicale entre Maria Fernandez et Juan, avait eu pour principale qualité de se débrouiller toute seule et de ne plus beaucoup réclamer sa mère, tellement celle-ci passait le plus clair de son temps à courir les hommes, en la laissant seule à la maison, bien qu’elle ignorait qu’en réalité, sa mère comptait bien utiliser sa fille comme étant une excuse pour arranger sa condition sociale et hériter de la fortune de Juan. Soledad avait tout hériter de sa mère, du côté physique, et rien de son père.
Quand à Lolita, celle-ci fille d’une certaine Lola Holly, elle avait toujours été une fille très attachée à sa mère. Déjà, elle la suppliait en grands assauts de larmes de ne pas la quittée alors que la tutrice partait juste faire un brin de toilettes ! Un vrai petit singe accroché fermement à sa branche maternelle, et qui n’étais visiblement pas prêt à prendre son indépendance comme Soledad. Peut-être étais-ce à cause du fait que Lolita avait été choyée et extrêmement couverte d’amour à l’excès par Lola ? On ne le saura jamais….
La dernière s’avérait être l’espiègle et euphorique Joy, fille de Laetitia Bonaventure, qui ne perdait jamais une minute pour s’amuser et se déchaîner sur un petit air de musique enfantin, chanter par sa mère comme une berceuse. Toujours heureuse, toujours remplie d’imagination, à éclairer les journée mornes de sa mère mélancolique, elle était un petit rayon de soleil sur la métropole endormie.
Et tandis que ces bouts de chou jouaient ensemble, plus ou moins calmement, les mères réglaient leurs compte avec Juan.
Alors, enragé et devenu aussi imperturbable qu’une muraille de pierre, l’impardonnable Juan, tandis que Nathalie était replongée dans une nouvelle crise de démence à l’idée de voir son mari se moquer d’elle à nouveau, pris sont portable et appela un compagnon d’une association peu recommandable, avec qui il eu une longue discussion ponctuée de transactions financières et d’accords, avant de raccrocher de se sentir mieux, avant d’accepter officiellement sa parenté avec ses filles illégitimes, les invitant même à venir chez lui pour lui confier quelques temps ses filles, histoire qu’ils fassent connaissance. Cela peut paraître incenscé, d’accepter une telle proposition sans se méfier, mais pour des raisons de moralité pour leurs chères filles, ou de bénéfices personnels, les mères ont accepter en demandant à avoir des nouvelles perpétuelles de leurs filles, et surtout, de lui laisser jusqu’au lendemain pour se familiariser avec elles.
Le pacte fut scellé… Mais malheureusement, les mères ne revinrent plus jamais voir leurs précieuses petites filles, et quelques jours plus tard, après qu’elles aient été portées disparues par les autorités locales, elles furent retrouvées inertes dans divers lieux isolés de Oasis Spring… Et pas du tout entières… Après ce drame, Juan était prêt à abandonner ses filles illégitimes, dont Pandore, dans la cabane de pierres qu’il croyait abandonnée et toujours en vente sur le marché, en leurs faisant croire qu’il reviendrait bientôt quand elles auraient finies de jouer au chat et à la souris ensemble, ce qu’elles firent sans se douter de rien. Alors, Juan, dans un élan d’espérance, en profita pour s’enfuir chez lui, là où l’attendais Nathalie, qui, dès son retour, le prévenu avant que Juan ne l’ordonne de déménager le plus loin possible d’Oasis Spring pour reprendre un nouveau départ, qu’elle était enceinte, de nouveau de lui cette fois, et qu’elle espérait du plus profond de son coeur que ce soit un garçon, cette fois. Ce fut à ce moment-là que Juan et elles consentirent à déménager loin du quartier, et à abandonner également leurs fille Marie-Ange, qui commençait à énerver Nathalie, qui n’avait pas du tout la fibre maternelle en réalité, surtout avec les petites filles. La voiture qui transportaient leurs affaires passa devant la cabane des pierres, et y déposa soudainement Marie-Ange, qui, douce et gentille comme elle étais, ne se posa pas de question, et préféra rejoindre les autres fillettes en train de jouer. Pas particulièrement attachée à sa mère, elle ne pleura même pas lorsque celle-ci s’en alla avec Juan sans un mot.
A ce moment-là, une jeune fille mystérieuse arriva dans ce qui semblait être sa demeure, et découvrit avec surprise sept bambines s’amuser gaiement autour. Elle s’appelle Dolores, et la seule chose qu’elle sait sur son passé, c’est que sa mère aurait accouchée d’elle lorsqu’elle était adolescente, et l’aurait donnée à l’adoption pour ne pas avoir à subir les contraintes maternelles, alors trop lourdes pour une jeune adolescente. Mais sa famille adoptive l’ayant prise comme enfant à charge, à un jour disparue de manière inexplicable il y à un mois, faisant qu’elle vivrait dorénavant seule, en tant que jeune adulte autonome. Malgré le fait qu’elle les auraient cherchés en vain, eux et leurs enfants, qui étaient ses frères et sœurs adoptifs, elle ne trouva rien pour la mettre sur une quelconque piste…. Comment allait-elle réagir à cette rencontre des plus étonnantes ? Autant le dire, elle décida, le temps de trouver à qui appartient toutes ces petites filles, elle décida de s’occuper d’elles de la meilleure manière qu’il soit, comme elle le faisait pour ses adorables petits frères et sœurs dans le passé….
Son objectif, pour le moment ? Elle n’était qu’une humaine avec des bambins, donc ce ne sera pas facile, et avec toutes les factures de terrain qu’elle à payer, et la disparition de sa famille qui ne rapportait plus de revenu, il ne lui restait seulement que 16 926 simflouzs, si on comptait l’argent qu’elle avait également dépenser dans ses besoins primaires pour vivre quotidiennement. Peintre indépendante qu’elle était, sans emplois, non-salariée, elle avait cependant moins de difficultés à vivre grâce au fait qu’elle et sa famille vivaient dans un quartier sans prestige de Oasis Spring. Sa maison était en plein pieds, et elle avait tous le matériel nécéssaire pour s’occuper de bambin, même si cela appartenait autrefois aux siens, et qu’elle avait vendu certaines choses soit pour se faire de l’argent en déséspoir de cause ou alors pour oublier des souvenirs trop douloureux de ses parents. Elle à cependant garder des meubles pour bambins hérités de son temps passer avec sa fratrie adoptive. Mais savait-elle au moins qu’elle allait les gardées plus longtemps qu’elle le croyait… ? Après tout, la durée de vie était élevée pour les sims de Oasis Spring, et tout pouvait basculer d’un moment à l’autre….
Il y bien longtemps, dans l’enceinte du petit quartier pourtant sans histoires d’Oasis Spring, vivait un homme sans scrupule du nom de Juan Martyre, qui de femmes en femmes, de domiciles en domiciles, courait sous leurs jupons et trompait continuellement son épouse, une femme plus toute jeune, mais également pas tout à fait vieille, appelée Nathalie Martyre. Depuis qu’elle était passée au stade d’adulte, quatre mois après leurs mariage, Juan la méprisait secrètement pour sa beauté déchue et sa laideur dorénavant visible, et priait ciels et terres pour une amante plus digne de son tempérament vicieux, regrettant amèrement fiançailles et lune de miel. Juan Martyre tomba un jour amoureux, d’un désir superficiel, sans que bien entendu rumeurs il y eut, d’une merveilleuse femme appelée Eveline Eden, qui renvoya doublement l’amour que nourrissait Juan à son égard. Sauf qu’il était véritable, loin d’être platonique ou encore fondé sur un physique attrayant, mais bel et bien d’une pureté étincelante, immaculée. Hélas ! Après quelques journées où ils s’abandonnaient à de délicieux moments d’intimité sous les couettes et des rencards romantiques, Nathalie découvrit la supercherie, et Juan, pour se protégé de la fureur de sa femme, délaissa Eveline, et accessoirement, lui attribua maux et pêchés pour le simple fait d’avoir été sa concubine. Au courant de la tromperie, de la trahison, Eveline sombra dans une dépression nerveuse sans précédant, où, après avoir découvert que fécondation il y avait eu, et qu’une nouvelle vie s’apprêtait à voir le jour, décida de survivre en fumant et avalant boissons alcoolisées, pensant ainsi pouvoir avoir au moins conscience tranquille en condamnant ainsi l’enfant qu’elle avait eu de cet être méprisable.
Mais contrairement à son désir, elle accoucha quelques mois après d’un bébé miraculeusement en parfaite santé, et qui ne possédait aucun trouble physique ou psychique, du moins pour le moment. Alors, désespérée à l’idée de voir la progéniture de son bourreau aussi pétillante de vitalité, elle quitta ce monde par le doux baiser étouffant d’une corde enroulée à son cou, ayant eu le temps d’informer le personnel de l’hôpital du nom du paternel, en guise de revanche. Ainsi, Juan se retrouva avec son premier enfant illégitime (du moins était-ce une évidence pour lui), qu’il prénomma en présence de sa femme ulcérée, Pandore Martyre, car il la considérait comme une fille faiseuse de trouble, et indigne de confiance de part le fait qu’elle était d’un sang indésirable. Cela plongea Nathalie dans la satisfaction, mais pas assez pour l’empêcher de nourir une condescendance meurtrière envers celui qui lui avait fait vœux de passion éternelle. Folle de colère, Juan réussit néanmoins à appaiser la Némésis de cette bourgeoise, en lui faisant remarquer après une visite médicale, car l’impétueuse femme se plaignait d’un mal de ventre et de vomissements, qu’une autre petite fille ou petit garçon, qui cette fois serait de son sang, attendait d’arriver au monde. Juan fut ravi de cette nouvelle réjouissante… Jusqu’au moment qu’on leurs dévoila le sexe de l’enfant.
C’était une fille. Une future humiliation pour Juan, démon machiavélique qu’il était, fils de Lucifer. Pour lui, une bouche de trop à nourrir, mais impossible à avorter désormais, mais un cadeau divin pour sa mère, qui pourtant couverte de déception à l’idée qu’elle soit de sexe féminin, décida d’en fait une femme au foyer parfaite, au grand désarroi des féministes. Elle l’appela Marie-Ange à sa naissance, car celle-ci étant destinée à devenir aux yeux de sa mère une fillette angélique et modèle, Quels parents déplorables…. Mais quels enfants pourtant magnifiques…. Pandore, ayant héritée d’un œil bleu de son père (qui avait deux yeux de couleurs différentes, l’un violet et l’autre bleu), et Marie-Ange, tenant tout du physique de sa mère (qui avait elle aussi les yeux violets) hormis la mocheté qui ressortait intérieurement et extérieurement de sa mère corrompue. L’une maltraitée, et l’autre délaissée par son père….
Tous semblait retourner dans l’ordre (d’une certaine manière, pour les relations parentales), lorsque, furieuses et poussées par l’injustice de leurs conditions, d’anciennes concubines mises de côté par Juan vinrent réclamer avec détermination le lien de parenté de cet amour volage avec leurs… filles, qui venaient de naître quelques mois plus tôt. Innocentes et insouciantes, nées dans l’intervalle qui sépara la nativité de Pandore et Marie-Ange, elles étaient au nombre de cinq, cinq petits chérubins, cinq filles reconnues par la municipalité comme étant filles de Juan, mais non-reconnues par celui-ci.
Il y avait deux adorables petites jumelles, la charmeuse et sociable Aimée-Désirée, ainsi que sa sœur semblable, qui portait le nom de Mercedes. Toutes les deux nées d’une union entre Juan et Zahra Gahiji, une femme d’origine africaine qui n’avait pas du tout apprécier que Juan lui fasse miroiter une vie utopique, pour après l’envoyer dans le néant avec son ventre porteur de vie. Les deux petites, comme les autres, n’étaient au courant de rien, et croyaient que tous cela faisait parti d’une simple visite chez un ami de leurs mère. Toutes les deux avaient héritées du second œil verron de leurs père, et des cheveux noirs crépus, mais également, de la peau de leurs mère.
Une autre, Soledad, née de la relation plus qu’amicale entre Maria Fernandez et Juan, avait eu pour principale qualité de se débrouiller toute seule et de ne plus beaucoup réclamer sa mère, tellement celle-ci passait le plus clair de son temps à courir les hommes, en la laissant seule à la maison, bien qu’elle ignorait qu’en réalité, sa mère comptait bien utiliser sa fille comme étant une excuse pour arranger sa condition sociale et hériter de la fortune de Juan. Soledad avait tout hériter de sa mère, du côté physique, et rien de son père.
Quand à Lolita, celle-ci fille d’une certaine Lola Holly, elle avait toujours été une fille très attachée à sa mère. Déjà, elle la suppliait en grands assauts de larmes de ne pas la quittée alors que la tutrice partait juste faire un brin de toilettes ! Un vrai petit singe accroché fermement à sa branche maternelle, et qui n’étais visiblement pas prêt à prendre son indépendance comme Soledad. Peut-être étais-ce à cause du fait que Lolita avait été choyée et extrêmement couverte d’amour à l’excès par Lola ? On ne le saura jamais….
La dernière s’avérait être l’espiègle et euphorique Joy, fille de Laetitia Bonaventure, qui ne perdait jamais une minute pour s’amuser et se déchaîner sur un petit air de musique enfantin, chanter par sa mère comme une berceuse. Toujours heureuse, toujours remplie d’imagination, à éclairer les journée mornes de sa mère mélancolique, elle était un petit rayon de soleil sur la métropole endormie.
Et tandis que ces bouts de chou jouaient ensemble, plus ou moins calmement, les mères réglaient leurs compte avec Juan.
Alors, enragé et devenu aussi imperturbable qu’une muraille de pierre, l’impardonnable Juan, tandis que Nathalie était replongée dans une nouvelle crise de démence à l’idée de voir son mari se moquer d’elle à nouveau, pris sont portable et appela un compagnon d’une association peu recommandable, avec qui il eu une longue discussion ponctuée de transactions financières et d’accords, avant de raccrocher de se sentir mieux, avant d’accepter officiellement sa parenté avec ses filles illégitimes, les invitant même à venir chez lui pour lui confier quelques temps ses filles, histoire qu’ils fassent connaissance. Cela peut paraître incenscé, d’accepter une telle proposition sans se méfier, mais pour des raisons de moralité pour leurs chères filles, ou de bénéfices personnels, les mères ont accepter en demandant à avoir des nouvelles perpétuelles de leurs filles, et surtout, de lui laisser jusqu’au lendemain pour se familiariser avec elles.
Le pacte fut scellé… Mais malheureusement, les mères ne revinrent plus jamais voir leurs précieuses petites filles, et quelques jours plus tard, après qu’elles aient été portées disparues par les autorités locales, elles furent retrouvées inertes dans divers lieux isolés de Oasis Spring… Et pas du tout entières… Après ce drame, Juan était prêt à abandonner ses filles illégitimes, dont Pandore, dans la cabane de pierres qu’il croyait abandonnée et toujours en vente sur le marché, en leurs faisant croire qu’il reviendrait bientôt quand elles auraient finies de jouer au chat et à la souris ensemble, ce qu’elles firent sans se douter de rien. Alors, Juan, dans un élan d’espérance, en profita pour s’enfuir chez lui, là où l’attendais Nathalie, qui, dès son retour, le prévenu avant que Juan ne l’ordonne de déménager le plus loin possible d’Oasis Spring pour reprendre un nouveau départ, qu’elle était enceinte, de nouveau de lui cette fois, et qu’elle espérait du plus profond de son coeur que ce soit un garçon, cette fois. Ce fut à ce moment-là que Juan et elles consentirent à déménager loin du quartier, et à abandonner également leurs fille Marie-Ange, qui commençait à énerver Nathalie, qui n’avait pas du tout la fibre maternelle en réalité, surtout avec les petites filles. La voiture qui transportaient leurs affaires passa devant la cabane des pierres, et y déposa soudainement Marie-Ange, qui, douce et gentille comme elle étais, ne se posa pas de question, et préféra rejoindre les autres fillettes en train de jouer. Pas particulièrement attachée à sa mère, elle ne pleura même pas lorsque celle-ci s’en alla avec Juan sans un mot.
A ce moment-là, une jeune fille mystérieuse arriva dans ce qui semblait être sa demeure, et découvrit avec surprise sept bambines s’amuser gaiement autour. Elle s’appelle Dolores, et la seule chose qu’elle sait sur son passé, c’est que sa mère aurait accouchée d’elle lorsqu’elle était adolescente, et l’aurait donnée à l’adoption pour ne pas avoir à subir les contraintes maternelles, alors trop lourdes pour une jeune adolescente. Mais sa famille adoptive l’ayant prise comme enfant à charge, à un jour disparue de manière inexplicable il y à un mois, faisant qu’elle vivrait dorénavant seule, en tant que jeune adulte autonome. Malgré le fait qu’elle les auraient cherchés en vain, eux et leurs enfants, qui étaient ses frères et sœurs adoptifs, elle ne trouva rien pour la mettre sur une quelconque piste…. Comment allait-elle réagir à cette rencontre des plus étonnantes ? Autant le dire, elle décida, le temps de trouver à qui appartient toutes ces petites filles, elle décida de s’occuper d’elles de la meilleure manière qu’il soit, comme elle le faisait pour ses adorables petits frères et sœurs dans le passé….
Son objectif, pour le moment ? Elle n’était qu’une humaine avec des bambins, donc ce ne sera pas facile, et avec toutes les factures de terrain qu’elle à payer, et la disparition de sa famille qui ne rapportait plus de revenu, il ne lui restait seulement que 16 926 simflouzs, si on comptait l’argent qu’elle avait également dépenser dans ses besoins primaires pour vivre quotidiennement. Peintre indépendante qu’elle était, sans emplois, non-salariée, elle avait cependant moins de difficultés à vivre grâce au fait qu’elle et sa famille vivaient dans un quartier sans prestige de Oasis Spring. Sa maison était en plein pieds, et elle avait tous le matériel nécéssaire pour s’occuper de bambin, même si cela appartenait autrefois aux siens, et qu’elle avait vendu certaines choses soit pour se faire de l’argent en déséspoir de cause ou alors pour oublier des souvenirs trop douloureux de ses parents. Elle à cependant garder des meubles pour bambins hérités de son temps passer avec sa fratrie adoptive. Mais savait-elle au moins qu’elle allait les gardées plus longtemps qu’elle le croyait… ? Après tout, la durée de vie était élevée pour les sims de Oasis Spring, et tout pouvait basculer d’un moment à l’autre….
Excusez-moi si l'histoire est ennuyante et dénuée de sens, mais je voulais juste rendre le challenge intéréssant et l'introduire. Je ne sais pas si c'est autoriser, mais je supprimerais cela sinon...