Sims 4 Le Pandemonium de Dolores (Défi des 7 Bambins).

Lady Simsette

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27 Décembre 2017
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Bonjour ! Avant de commencer, je tiens à dire que ceci est une présentation de la famille et de son histoire, et que l'aventure de Dolores et de sa tribu, viendra juste après. Excusez-moi si jamais ceci n'est pas conforme à un challenge ordinaire, mais je ne savais pas comment m'y prendre au commencement pour introduire une explication fictive à ce challenge. Donc j'ai fait avec ce que j'ai trouver en stock dans ma tête. Après, si cela ne dérange personne, pourriez-vous s'il vous plaît me donner des conseils pour insérer mes captures d'écrans sur le site ? Parce que là, je viens d'insérer des images de la gallerie sur internet, mais lorsque j'ai essayer d'insérer une capture d'écran à partir de mon ordinateur, ça ne voulait pas. Merci d'avance, et bonne lecture !

Chers inconnus, vous que la curiosité irrésistible à délibérément emmenée sur ce récit familial des plus singuliers et des plus infernaux, approchez et, si jamais intérêt il vous prend à un moment, alors plongez vous dans une lecture réalisée par une joueuse misérable et pitoyable, racontant l’épopée romanesque d’une protagoniste cherchant à retrouver la grandeur passée des siens, et à convertir les anges en démons. Entendez la curieuse histoire de la famille Martyre, des sœurs de l’oubli, de la fraternité et de l’affection d’une aînée aimante luttant corps et âmes contre la cruauté d’une Destinée malheureuse. Si votre cœur vous en dit, à leurs identités vraiment hors-du-commun veuillez ne pas rire, car leurs existence est actuellement bien difficile à vivre. Entre peintures et éducation. Entre couches souillées et pinceaux d’aquarelle. Entre pleurs et sueurs. Admirez ce que l’avenir peut vous imposer de plus cruel dans un jeu de simulation de vie, où infortunément, certaines anecdotes sont loin d’être plaisantes. Tel les romains en manque de divertissement, et aussi affamés de douleurs humaines qu’un fauve s’attaquant à un chrétien condamné à mort, observez le quotidien obsolète d’une famille vraiment pas ordinaire.
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Il y bien longtemps, dans l’enceinte du petit quartier pourtant sans histoires d’Oasis Spring, vivait un homme sans scrupule du nom de Juan Martyre, qui de femmes en femmes, de domiciles en domiciles, courait sous leurs jupons et trompait continuellement son épouse, une femme plus toute jeune, mais également pas tout à fait vieille, appelée Nathalie Martyre. Depuis qu’elle était passée au stade d’adulte, quatre mois après leurs mariage, Juan la méprisait secrètement pour sa beauté déchue et sa laideur dorénavant visible, et priait ciels et terres pour une amante plus digne de son tempérament vicieux, regrettant amèrement fiançailles et lune de miel. Juan Martyre tomba un jour amoureux, d’un désir superficiel, sans que bien entendu rumeurs il y eut, d’une merveilleuse femme appelée Eveline Eden, qui renvoya doublement l’amour que nourrissait Juan à son égard. Sauf qu’il était véritable, loin d’être platonique ou encore fondé sur un physique attrayant, mais bel et bien d’une pureté étincelante, immaculée. Hélas ! Après quelques journées où ils s’abandonnaient à de délicieux moments d’intimité sous les couettes et des rencards romantiques, Nathalie découvrit la supercherie, et Juan, pour se protégé de la fureur de sa femme, délaissa Eveline, et accessoirement, lui attribua maux et pêchés pour le simple fait d’avoir été sa concubine. Au courant de la tromperie, de la trahison, Eveline sombra dans une dépression nerveuse sans précédant, où, après avoir découvert que fécondation il y avait eu, et qu’une nouvelle vie s’apprêtait à voir le jour, décida de survivre en fumant et avalant boissons alcoolisées, pensant ainsi pouvoir avoir au moins conscience tranquille en condamnant ainsi l’enfant qu’elle avait eu de cet être méprisable.
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Mais contrairement à son désir, elle accoucha quelques mois après d’un bébé miraculeusement en parfaite santé, et qui ne possédait aucun trouble physique ou psychique, du moins pour le moment. Alors, désespérée à l’idée de voir la progéniture de son bourreau aussi pétillante de vitalité, elle quitta ce monde par le doux baiser étouffant d’une corde enroulée à son cou, ayant eu le temps d’informer le personnel de l’hôpital du nom du paternel, en guise de revanche. Ainsi, Juan se retrouva avec son premier enfant illégitime (du moins était-ce une évidence pour lui), qu’il prénomma en présence de sa femme ulcérée, Pandore Martyre, car il la considérait comme une fille faiseuse de trouble, et indigne de confiance de part le fait qu’elle était d’un sang indésirable. Cela plongea Nathalie dans la satisfaction, mais pas assez pour l’empêcher de nourir une condescendance meurtrière envers celui qui lui avait fait vœux de passion éternelle. Folle de colère, Juan réussit néanmoins à appaiser la Némésis de cette bourgeoise, en lui faisant remarquer après une visite médicale, car l’impétueuse femme se plaignait d’un mal de ventre et de vomissements, qu’une autre petite fille ou petit garçon, qui cette fois serait de son sang, attendait d’arriver au monde. Juan fut ravi de cette nouvelle réjouissante… Jusqu’au moment qu’on leurs dévoila le sexe de l’enfant.
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C’était une fille. Une future humiliation pour Juan, démon machiavélique qu’il était, fils de Lucifer. Pour lui, une bouche de trop à nourrir, mais impossible à avorter désormais, mais un cadeau divin pour sa mère, qui pourtant couverte de déception à l’idée qu’elle soit de sexe féminin, décida d’en fait une femme au foyer parfaite, au grand désarroi des féministes. Elle l’appela Marie-Ange à sa naissance, car celle-ci étant destinée à devenir aux yeux de sa mère une fillette angélique et modèle, Quels parents déplorables…. Mais quels enfants pourtant magnifiques…. Pandore, ayant héritée d’un œil bleu de son père (qui avait deux yeux de couleurs différentes, l’un violet et l’autre bleu), et Marie-Ange, tenant tout du physique de sa mère (qui avait elle aussi les yeux violets) hormis la mocheté qui ressortait intérieurement et extérieurement de sa mère corrompue. L’une maltraitée, et l’autre délaissée par son père….

Tous semblait retourner dans l’ordre (d’une certaine manière, pour les relations parentales), lorsque, furieuses et poussées par l’injustice de leurs conditions, d’anciennes concubines mises de côté par Juan vinrent réclamer avec détermination le lien de parenté de cet amour volage avec leurs… filles, qui venaient de naître quelques mois plus tôt. Innocentes et insouciantes, nées dans l’intervalle qui sépara la nativité de Pandore et Marie-Ange, elles étaient au nombre de cinq, cinq petits chérubins, cinq filles reconnues par la municipalité comme étant filles de Juan, mais non-reconnues par celui-ci.
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Il y avait deux adorables petites jumelles, la charmeuse et sociable Aimée-Désirée, ainsi que sa sœur semblable, qui portait le nom de Mercedes. Toutes les deux nées d’une union entre Juan et Zahra Gahiji, une femme d’origine africaine qui n’avait pas du tout apprécier que Juan lui fasse miroiter une vie utopique, pour après l’envoyer dans le néant avec son ventre porteur de vie. Les deux petites, comme les autres, n’étaient au courant de rien, et croyaient que tous cela faisait parti d’une simple visite chez un ami de leurs mère. Toutes les deux avaient héritées du second œil verron de leurs père, et des cheveux noirs crépus, mais également, de la peau de leurs mère.
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Une autre, Soledad, née de la relation plus qu’amicale entre Maria Fernandez et Juan, avait eu pour principale qualité de se débrouiller toute seule et de ne plus beaucoup réclamer sa mère, tellement celle-ci passait le plus clair de son temps à courir les hommes, en la laissant seule à la maison, bien qu’elle ignorait qu’en réalité, sa mère comptait bien utiliser sa fille comme étant une excuse pour arranger sa condition sociale et hériter de la fortune de Juan. Soledad avait tout hériter de sa mère, du côté physique, et rien de son père.
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Quand à Lolita, celle-ci fille d’une certaine Lola Holly, elle avait toujours été une fille très attachée à sa mère. Déjà, elle la suppliait en grands assauts de larmes de ne pas la quittée alors que la tutrice partait juste faire un brin de toilettes ! Un vrai petit singe accroché fermement à sa branche maternelle, et qui n’étais visiblement pas prêt à prendre son indépendance comme Soledad. Peut-être étais-ce à cause du fait que Lolita avait été choyée et extrêmement couverte d’amour à l’excès par Lola ? On ne le saura jamais….
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La dernière s’avérait être l’espiègle et euphorique Joy, fille de Laetitia Bonaventure, qui ne perdait jamais une minute pour s’amuser et se déchaîner sur un petit air de musique enfantin, chanter par sa mère comme une berceuse. Toujours heureuse, toujours remplie d’imagination, à éclairer les journée mornes de sa mère mélancolique, elle était un petit rayon de soleil sur la métropole endormie.
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Et tandis que ces bouts de chou jouaient ensemble, plus ou moins calmement, les mères réglaient leurs compte avec Juan.

Alors, enragé et devenu aussi imperturbable qu’une muraille de pierre, l’impardonnable Juan, tandis que Nathalie était replongée dans une nouvelle crise de démence à l’idée de voir son mari se moquer d’elle à nouveau, pris sont portable et appela un compagnon d’une association peu recommandable, avec qui il eu une longue discussion ponctuée de transactions financières et d’accords, avant de raccrocher de se sentir mieux, avant d’accepter officiellement sa parenté avec ses filles illégitimes, les invitant même à venir chez lui pour lui confier quelques temps ses filles, histoire qu’ils fassent connaissance. Cela peut paraître incenscé, d’accepter une telle proposition sans se méfier, mais pour des raisons de moralité pour leurs chères filles, ou de bénéfices personnels, les mères ont accepter en demandant à avoir des nouvelles perpétuelles de leurs filles, et surtout, de lui laisser jusqu’au lendemain pour se familiariser avec elles.

Le pacte fut scellé… Mais malheureusement, les mères ne revinrent plus jamais voir leurs précieuses petites filles, et quelques jours plus tard, après qu’elles aient été portées disparues par les autorités locales, elles furent retrouvées inertes dans divers lieux isolés de Oasis Spring… Et pas du tout entières… Après ce drame, Juan était prêt à abandonner ses filles illégitimes, dont Pandore, dans la cabane de pierres qu’il croyait abandonnée et toujours en vente sur le marché, en leurs faisant croire qu’il reviendrait bientôt quand elles auraient finies de jouer au chat et à la souris ensemble, ce qu’elles firent sans se douter de rien. Alors, Juan, dans un élan d’espérance, en profita pour s’enfuir chez lui, là où l’attendais Nathalie, qui, dès son retour, le prévenu avant que Juan ne l’ordonne de déménager le plus loin possible d’Oasis Spring pour reprendre un nouveau départ, qu’elle était enceinte, de nouveau de lui cette fois, et qu’elle espérait du plus profond de son coeur que ce soit un garçon, cette fois. Ce fut à ce moment-là que Juan et elles consentirent à déménager loin du quartier, et à abandonner également leurs fille Marie-Ange, qui commençait à énerver Nathalie, qui n’avait pas du tout la fibre maternelle en réalité, surtout avec les petites filles. La voiture qui transportaient leurs affaires passa devant la cabane des pierres, et y déposa soudainement Marie-Ange, qui, douce et gentille comme elle étais, ne se posa pas de question, et préféra rejoindre les autres fillettes en train de jouer. Pas particulièrement attachée à sa mère, elle ne pleura même pas lorsque celle-ci s’en alla avec Juan sans un mot.
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A ce moment-là, une jeune fille mystérieuse arriva dans ce qui semblait être sa demeure, et découvrit avec surprise sept bambines s’amuser gaiement autour. Elle s’appelle Dolores, et la seule chose qu’elle sait sur son passé, c’est que sa mère aurait accouchée d’elle lorsqu’elle était adolescente, et l’aurait donnée à l’adoption pour ne pas avoir à subir les contraintes maternelles, alors trop lourdes pour une jeune adolescente. Mais sa famille adoptive l’ayant prise comme enfant à charge, à un jour disparue de manière inexplicable il y à un mois, faisant qu’elle vivrait dorénavant seule, en tant que jeune adulte autonome. Malgré le fait qu’elle les auraient cherchés en vain, eux et leurs enfants, qui étaient ses frères et sœurs adoptifs, elle ne trouva rien pour la mettre sur une quelconque piste…. Comment allait-elle réagir à cette rencontre des plus étonnantes ? Autant le dire, elle décida, le temps de trouver à qui appartient toutes ces petites filles, elle décida de s’occuper d’elles de la meilleure manière qu’il soit, comme elle le faisait pour ses adorables petits frères et sœurs dans le passé….

Son objectif, pour le moment ? Elle n’était qu’une humaine avec des bambins, donc ce ne sera pas facile, et avec toutes les factures de terrain qu’elle à payer, et la disparition de sa famille qui ne rapportait plus de revenu, il ne lui restait seulement que 16 926 simflouzs, si on comptait l’argent qu’elle avait également dépenser dans ses besoins primaires pour vivre quotidiennement. Peintre indépendante qu’elle était, sans emplois, non-salariée, elle avait cependant moins de difficultés à vivre grâce au fait qu’elle et sa famille vivaient dans un quartier sans prestige de Oasis Spring. Sa maison était en plein pieds, et elle avait tous le matériel nécéssaire pour s’occuper de bambin, même si cela appartenait autrefois aux siens, et qu’elle avait vendu certaines choses soit pour se faire de l’argent en déséspoir de cause ou alors pour oublier des souvenirs trop douloureux de ses parents. Elle à cependant garder des meubles pour bambins hérités de son temps passer avec sa fratrie adoptive. Mais savait-elle au moins qu’elle allait les gardées plus longtemps qu’elle le croyait… ? Après tout, la durée de vie était élevée pour les sims de Oasis Spring, et tout pouvait basculer d’un moment à l’autre….

Excusez-moi si l'histoire est ennuyante et dénuée de sens, mais je voulais juste rendre le challenge intéréssant et l'introduire. Je ne sais pas si c'est autoriser, mais je supprimerais cela sinon...
 

Sophie Stiquet

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Tu as le droit de mener ton challenge comme tu le souhaites. Du moins, dans le règlement de la section(je t'invite d'ailleurs à le lire si ce n'est pas encore fait (y)) , rien n'interdit une petite introduction.

Pour tes images, je te renvoies vers le tuto de Dyokabb.

Bon challenge ! :)
 

Lady Simsette

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Merci beaucoup (et c'est qui qui va souffrir le martyre avec ses septs anges pêchés capitaux ? C'est moi !). Je vais analyser le tuto de plus près !
 

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Lady Simsette

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27 Décembre 2017
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Voici la première partie du challenge ! J'ai enfin réussie à apprendre que je devais redimensionner mes images avant des les insérées, et donc, vous pourrez suivre l'histoire à partir de captures d'écrans du jeu et du récit ! Vu que l'objectif est de monter les compétences des bambins au maximum, je vais les écrire dans un tableau juste après le spoiler ! Bonne lecture !

Lorsque Dolores rentrait calmement dans son domicile de fortune, elle pensa réellement que la présence de ces sept petites créatures féeriques qui jouaient dynamiquement autour de sa maison n’étaient que des enfants laissées sans surveillances par leurs mère, qui s’amusaient temporairement autour de la cabane des pierres à un sorte d’équivalent de saute-mouton, ou encore à chat si on remarquait celles qui se couraient maladroitement après. Pensant vivement que les tutrices allaient revenir pour s’occuper de leurs filles ou bambines à charge après qu’elles se soient éloignées brièvement. D’ailleurs, Dolores se mordait ses lèvres maquillées de rouge à lèvres mauve, tellement elle trouvait cela inacceptable que d’innocentes fillettes soient isolées un moment de leurs familles juste pour la tranquillité de quelques femmes paresseuses ! Franchement quel manque de respect envers leurs progénitures ! Si Dolores avait été mère, cela ne serait jamais arriver ! Non pas qu’elle rêvait de fonder une grande famille heureuse, ou quoique ce soit, mais elle avait surtout comme trait de personnalité positif celui d’adulte majeure proche de sa famille, et cela modifiait tout dans sa perception de l’éducation envisagée pour les enfants ! En réalité, il fallait juste voir l’exemplaire perfomance de soins qu’elle donnait pour ses frères pendant que ses parents étaient au travail…. Non…. Mieux ne valait pas qu’elle se souvienne de cela…. Pas de ça…. Jamais de sa famille, dont elle n’avait plus aucune nouvelle depuis des semaines… Jamais…. A chaque fois qu’elle rentrait en contact visuel avec une photographie collective de famille, ou avec un meuble qui avait trop accueillit d’amour filiale, elle ne pouvait s’empêcher d’éclater en sanglots en repensant à la bouilles de Clément et de son frère jumeau Constant, ou encore à sa mère et son père adoptifs qui lui ont donnée tant d’amour, d’affection parentale, et de courage pour affronter la vie. Et maintenant… Ils étaient partis sans donner leurs mot à dire… Mais la seule chose dont était vraisemblablement certaine Dolores, c’est que s’était impossible qu’ils l’ait abandonnée d’une manière aussi brutale, sans même lui dire au revoir, bien que n’ayant que dix-neuf ans, elle n’avait toujours pas trouver d’appartement et résidait toujours chez eux en tant que jeune adulte. Elle savait qu’ils ne pourraient jamais la laissée croupir comme un vulgaire cloporte exposé sous le soleil d’une contrée désertique, et qu’ils pourraient bientôt revenir pour lui expliquer la situation, sinon. Depuis longtemps, attribuait-elle leurs départ soudain à un acte criminel, mais jamais on ne lança d’enquête, et toujours elle se retrouvera avec la même réplique destructrice et déstabilisante, intolérable, qui lui tombait dessus à chaque fois qu’elle demandait un renouveau de la décision de non-intervention des autorités policières d’Oasis Spring : « Vous êtes une jeune adulte, à présent ? Alors fonctionnez ainsi !’’. Ces mots l’avait brisée à jamais, comme une poupée de porcelaine jetée sans pitié sur le marbre. Non seulement elle n’arriverait jamais à joindre ou établir une quelconque communication avec les siens, mais surtout, pour une raison inconnue qui ne cessait de la perturbée, la police ne voulait catégoriquement pas ouvrir une investigation ! Mais à force, Dolores avait jouer le rôle des poupées vaudous vaines, et avait silencieusement rassemblée sa peine tout au fond d’elle, pour ne plus jamais la montrée en publique, tellement on la prendrait pour une folle qui ne savait en réalité assumer sa solitude et son éloignement de sa famille adoptive. Les misérables, qui refusaient d’écouter ses lamentations de désespoir !
Et puis, elles étaient apparues, là, comme ça, d’une heure à l’autre, devant son cabanon qui lui servait de foyer, et jadis abritait une famille heureuse. Ces princesses euphoriques lui rappelant douloureusement ses petits frères, qui étaient eux aussi des bambins, s’étaient manifestement arrêtées de jouer lorsqu’elles aperçurent au loin Dolores, et se mirent à la regardée de loin avec de grands yeux curieux, dans le silence le plus muet, d’une mine ahuris et fascinée. Dolores n’avait jamais compris pourquoi ces bébés la contemplait ainsi, comme une divinité représentée en statue colossale, alors qu’elle n’avait absolument rien d’exceptionnel ! C’était juste une grande enfant qui s’habillait encore comme une adolescente, voir même comme une pré-adolescente, ce qu’elle même reconnaissais ouvertement ! Certes, on lui avait souvent vanter au lycée la couleur blonde platinée de ses cheveux de blés, la couleurs de lavande que possédaient ses iris, son corps menu et de corpulence moyenne…. Mais autant lui avait-on reprocher son style vestimentaire un peu trop girly au goût de chacun, voir même trop enfantin et décontracté, sans oublier son mauvais talent d’assortir grossièrement des habits qui, au final, ne rendaient guère bien sur elle. Alors pourquoi tant d’attention ? Peut-être que, bien avant qu’elle même s’en rende compte, les sept petites filles s’étaient inconsciemment rendues compte du lien secret et pourtant existant qui les liaient mutuellement, alors que Dolores en était elle-même inculte. Après tous, les enfants n’étaient-ils pas aussi intelligents que les adultes, mais d’une manière bien différente, qui dépassaient les plus grandes suppositions d’un individu vieillissant ?
[image morte]
Les poupées se réunirent en un troupeau tout autour d’une Dolores confuse et perdue, qui ne savait ce que faisaient ces petites bouilles dans son jardin, à se divertir, et ensuite à l’observée comme si elle était un ange tombé du ciel, ou une barbe-à-papa rose géante ! Un vrai désastre pour leurs intimer l’instruction, ou du moins le signe de s’éloigner, bien qu’elle essayait de ne pas rendre cela trop violent ou blessant pour les petites fillettes, qui déjà, la suivait du regard d’une manière certes craquante, mais complètement dérangeante lorsqu’on savait qu’il ne s’agissait pas de nos enfants !
‘’- Heu… Où sont vos mamans ? ‘’ Demanda Dolores après quelques minutes d’hésitations, sans avoir si elle devait lancer une certaine conversation, qui de toutes manière, s’avérerait inefficace avec des fillettes, qui si cela se trouvait, ne savaient même pas parler, ou ne pouvaient qu’aligner des babillages de mots à moitié compréhensibles !
D’ailleurs, comme elle s’y attendais, les petites ne répondirent pas, et celles-ci, pour toutes réponses , se retournèrent vers des directions au hasard, tout en fixant avec des yeux vides presque attristants ou angoissants (cela dépendait si vous étiez un amateur de films horrifiques) des horizons allant au dessus des territoires de l’au-delà, que même pas des adultes comme Dolores ne pouvaient voir, ce qui mis cette dernière quelques peu dans une situation confortable, dont le malaise était amplifié par le silence morbide qui régnait, en compagnie du souffle de vent monotone qui commençait à se lever. Il était actuellement huit heures du matin à Oasis Spring, et même si on pouvait considérer cela comme normal, il fallait savoir que les respirations lentes et caressantes d’une nature endormie par la civilisation simsienne étaient rares dans cette ville, surtout avec la chaleur écrasante estivale, qui malheureusement, état actuellement saisonnière. Le fait qu’elle en ressentait ne faisait que déranger encore plus Dolores, qui craignait presque d’y voir un présage divinatoire ou une manifestation mystique. Mais celle-ci, outrée de sa propre crédulité, se ressaisit brutalement, et mis ce phénomène sur le fait que les mères des petites revenaient de leurs escales mystérieuses, et que mieux ne valait pas rester dans les parages si elle voulait ne pas être tenue responsable d’une quelconque intimidation, ou même prise par mégarde pour une pédophile de passagère ! Elle connaissait les figures maternelles d’Oasis Spring, en particulier Nancy Plénozas, et franchement, mieux ne valait pas trop s’approcher de Malcolm lorsque la maman tigre rôdait dans les hautes fougères de la savane, bien que ce dernier s’avérait être un vrai élément perturbateur en chaîne !
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Mais lorsque Dolores alla rejoindre la porte à ouverture automatique de sa maison, anciennement bricolée par son père, elle remarqua que personne ne se trouvait au loin pour récupéré les jeunes filles, et que les sept semblaient…. Se retourner pour la suivre, en prononçant des paroles incohérentes qui ressemblaient plus à des mots de bébés qu’à du simlish acquit !
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‘’- Ce n’est pas vrai...Elles me prennent pour une mascotte de fête foraine, ou quoi !? ‘’ Pesta intérieurement Dolores, non pas parce qu’elle méprisait les enfants, mais bel et bien parce que la présence de ces sept enfants lui rappelait de façon trop claire les membres de son ancienne famille.
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Dolores continua son chemin vers son abri modeste, croyant que les petites allaient finir par sa lasser de la suivre et qu’elles retourneraient à leurs activités collectives ou individuelles, mais qu’elles cesseraient toute infiltration dans la vie privée de Dolores ! Hé bien il n’en étais rien ! Même si Dolores avait hésiter à rester sur place pour donner quelques leçons de bon comportement et de fiabilité parentale aux mères indignes qui osaient trop s’éloigner, ou même rester sur place pour mettre sous surveillance et sécurité ces sept petites, mais elle n’avait pas réaliser sa volonté d’aider les sept chérubins, tellement elle craignait d’avoir de sérieux problèmes et querelles intenables avec leurs tutrices : et il fallait l’avouer, Dolores faisait partie de ces sims peureux, craintifs de leurs réputation ou de leurs confort, et incapables de tenir au conflit si ils avaient un jour à l’affronter en personne ! Elle avait déjà eu à supporter la disparition des siens, pas la peine d’endurer encore plus des maux vains ! Et puis, si ces femmes étaient bien plus têtues et décidées qu’elle, et inflexibles sur le sort de leurs descendantes, qu’est-ce que cela allait donner ?! Réellement, en plus, cela n’était pas une affaire dont devait se mêler Dolores, vu que le jardin en question n’étais pas clos, et que de toute manière, il était déjà arriver que quelqu’un prenne cette pièce de terrain comme un lieu communautaire, surtout dû au fait qu’il s’agissait là d’une maison que tous le monde croyait inhabitée, même si Dolores s’était acharnée autrefois à faire comprendre par tous les moyens possibles et inimaginables que NON, sa maison était la sienne, et que les adolescents de l’autre jour n’avaient pas à venir faire leurs barbecue ici ! Sauf que là, étant donner qu’elle serait en présence de personnes, qui visiblement, n’auraient pas compris la propriété privée de ce lieu, elle allait devoir une nouvelle fois sortir de son antre pour stipuler gentiment et avec diplomatie que ce jardin étais le sien, et que s’était tout de même inapproprié de faire jouer des bambins dessus sans sa permission. Même si personnellement, aimant les enfants et les familles, Dolores serait prête, pour le plaisir et l’amusement que pourraient ressentir ces petites, à accepter leurs présence en ce lieu, tant qu’elles ne rentraient pas dans la maison.
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Sauf que là, elles allaient littéralement entrer à l’intérieur ! Dolores crût cependant qu’on leurs avaient apprises les bonnes mesures de politesse, et qu’elles n’allaient pas tenter de franchir le seuil ! Que nenni ! Durant son entrée, elle remarqua que la porte à détecteur de mouvement était toujours ouverte, et vit avec ahurissement que les bambines l’avait volontairement suivies dans l’enceinte de sa demeure ! Titubantes, étourdies, mais avec une curiosité d’acier dans leurs mouvements, elles franchirent la porte et entrèrent dans la cabane en babillant des paroles toujours aussi dénuées de sens. Quand à Dolores, qui pensait qu’elle n’aurait juste qu’à les surveillées depuis la fenêtre de sa cuisine ou se repérer à leurs voix cristallines pour savoir si elles étaient toujours devant chez elle, et appeler l’assistance sociale si jamais personne ne viendrait les récupérées, se rendit compte que rien ne fonctionnerait ainsi, et que, quelque soit son choix, elle devrait apparemment se préparer à quelque chose d’encore plus difficile à gérer qu’elle pourrait le concevoir…
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‘’ - Et zut… Je sens que ce sera encore une journée bien remplie… ‘’ Fit Dolores, alors qu’elle se tenait près de la porte, par laquelle une vague de bébés rentraient en la croyant porteuse du rôle de marraine bienfaitrice à leurs égard. Son visage accueillait déjà une expression exaspérée et consternée....

Apprentissages des bambins :

[xtable=286x147]
{tbody}
{tr}
{td=134x@}Joy Martyre{/td}
{td=136x@}Joy à acquis la compétence mouvement.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=134x@}Pandore Martyre{/td}
{td=136x@}Pandore à acquis la compétence mouvement.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=134x@}Mercedes Martyre{/td}
{td=136x@}Mercedes à acquis la compétence mouvement.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=134x@}Aimée-Désirée Martyre{/td}
{td=136x@}Aimée-Désirée à acquis la compétence mouvement.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=134x@}Lolita Martyre{/td}
{td=136x@}Lolita à acquis la compétence mouvement.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=134x@}Soledad Martyre{/td}
{td=136x@}Soledad à acquis la compétence mouvement.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=134x@}Marie-Ange Martyre{/td}
{td=136x@}Marie-Ange à acquis la compétence mouvement.{/td}
{/tr}
{/tbody}
[/xtable]

Bilan des niveaux de compétence :

[xtable=287x152]
{tbody}
{tr}
{td=135x@}Pandore Martyre{/td}
{td=136x@}Mouvement : Niveau 1.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=135x@}Lolita Martyre{/td}
{td=136x@}Mouvement : Niveau 1.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=135x@}Soledad Martyre{/td}
{td=136x@}Mouvement : Niveau 1.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=135x@}Marie-Ange Martyre{/td}
{td=136x@}Mouvement : Niveau 1.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=135x@}Mercedes Martyre{/td}
{td=136x@}Mouvement : Niveau 1.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=135x@}Aimée-Désirée Martyre{/td}
{td=136x@}Mouvement : Niveau 1.{/td}
{/tr}
{tr}
{td=135x@}Joy Martyre{/td}
{td=136x@}Mouvement : Niveau 1.{/td}
{/tr}
{/tbody}
[/xtable]
 

Sophie Stiquet

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Bonjour @Lady Simsette ! :salut:

Deux choses :
1. Tes photos sont "cassées". Aurais-tu la possibilité de les remettre en bonne et due forme ? (Ce n'est pas une obligation mais c'est mieux pour ceux qui suivent ton histoire, ou ceux qui la prennent en cours de route).

2. Dans une dizaine de jours, cela fera deux mois que ton histoire n'a pas subit de mise à jour. Si aucune MAJ n'est faite d'ici le 1er mars 2018, conformément au règlement de la section, elle passera aux archives.