Sims 4 [Challenge] Vivre au naturel - Famille Andrews

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Vous avez grandi en plein cœur de la ville. Vos parents étaient souvent absents, totalement absorbés par leur carrière. La pollution et le ciel aussi gris que les trottoirs ont été votre quotidien. Vous avez attendu jusqu'à saturation votre majorité pour partir. Adieu la ville, adieu cette routine ennuyante.

Avec vos maigres économies, vous achetez un billet d'avion, puis de bateau pour partir loin. Le plus loin possible. Rejoindre le soleil, la mer et la vie sauvage.

Sulani, un archipel paradisiaque. Cependant, ce petit coin de paradis a subi beaucoup de dégâts après le passage d'une tornade. Une grande partie du village a été ravagé. Et les habitants tentent de reconstruire tant bien que mal. Vous aimez ce genre de travail, qu'importe si pour ça il faut dormir pendant plusieurs mois à la belle étoile et par terre. Vous avez hâte de commencer cette nouvelle vie, de construire l'héritage que vous allez transmettre plus tard.

Règle disponible sur le site officiel

- Sommaire -

Génération 1
Génération 2
Génération 3
Génération 4
Génération 5
Génération 6
Génération 7
Génération 8

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Prologue


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Tirage de dé :

• 7 : couple avec mariage
• 4 : 2 enfants
• 6 : jardinier branche botaniste
• 10 : raccordement électricité et eau

Il faudra plusieurs générations pour réhabiliter cet archipel.

Je m’appelle Thomas Andrews. J’ai décidé de m’installer avec ma jeune épouse Elodie, sur l’île de Lani St Taz.

Nous démarrons cette nouvelle vie avec rien dans les poches. Le peu que nous avions, a été pris pour faire le voyage en avion puis en bateau pour accoster ici et l’achat de notre terrain. Bien que pas onéreux, nous avons mis nos derniers simflouz dedans.

 

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L’installation

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Elodie est complètement déprimée en regardant aux alentours. Il n’y a rien à part le sable et l’océan.


Je tente malgré tous de la rassurer, ici, nous allons vivre heureux et surtout comme nous le voulons et pas en suivant les traces de nos parents respectifs.
Mes parents ne m’ont pas élevé. Trop pris par leurs carrières, c’est une nourrice qui m’a élevé et éduqué. Native de la Polynésie, elle m’a donné envie de venir vivre au grand air. J’aimais l’écouter me raconter la vie qu’elle avait eu, les chants et les danses, l’entraide et l’amour des îliens. Petit, je lui avais dit que je voulais vivre comme elle et j’ai tenu parole.


Naomi nous a quitté il y a presque un an. Son urne nous a suivi dans ce long voyage et la première chose que j’ai faite en arrivant sur notre terrain, c’est de jeter ses cendres dans son bel océan turquoise.


Avec Elodie, nous avons regardé les restes de Naomi partir au gré des vagues.

Plus tard dans la journée, j’ai monté notre « nouveau chez nous » que j’ai pu acheter en vendant des objets trouvés dans le sable.

Nous avons pris notre repas en mangeant des fruits cueillis, quand aux petits besoins, nous avons dû partager un buisson. Comme ma femme était triste, je lui ai dit que nous étions les nouveaux Robinson et que nous allions construire la plus belle maison sur notre terrain.

J’ai même planté une graine de noix de coco, comme je suis jardinier de métiers, je vais redonner à cette île, toute la beauté qu’elle avait eu jadis.

Après une nuit calme et reposante, Elodie a commencé sa première journée de son nouveau travail, nettoyer les plages et les environs pour permettre à d’autres personnes de s’installer et construire des nouvelles maisons.

Moi, je déjeune tranquillement avant de parcourir l’île pour trouver des trésors qui pourront me servir pour construire ma propre maison.

J’ai passé la matinée à ratisser l’île et j’ai découvert une magnifique cascade. Une eau pure. L’idée de prendre une bonne douche m’est tombé dessus et je me suis glissé à l’intérieur.

L’eau était vraiment froide et par ce temps nuageux, j’étais plus congelé que rafraîchit, mais au moins, j’étais propre. C’est ça qu’il faut que je fasse pour ma douce Elodie, construire une douche où l’eau se chauffera grâce au soleil.

J’ai ramassé des rondins que l’océan avait ramené sur la plage et j’ai trouvé un bout de bâche. En fouillant les débris d’une maison, j’ai ramassé des tuyaux et une douchette. C’est heureux que j’aie tout ramené chez nous.

J’ai passé l’après-midi et une partie de la soirée à bricoler. Elodie est rentrée de sa première journée de travail totalement épuisée et surtout affamée. N’ayant qu’une glacière, elle a dû se contenter de manger des céréales. J’ai mangé avec elle et je l’ai laissé se coucher pendant que je nettoyais nos déchets.

J’ai regardé l’ossature de ma future douche et je suis retourné pour la finir.

J’ai tout rangé à 2h30 du matin, épuisé mais heureux. Ma douce allait pouvoir prendre une douche tiède dès le lendemain.

J’étais tout fier de moi quand elle est entrée dans la cabine, et encore plus fier en voyant son sourire quand elle en est sortie toute propre et sentant la coco.

Ni une ni deux, je l’ai enlevé pour s’enfermer dans la tente, une autre douche sera nécessaire.

J’aurais dû m’abstenir (ou désactiver le WW ) parce que ma douce épouse a le ventre qui s’arrondit et vomit souvent.

Comme je le craignais, nous allons être parent. La guigne, je n’ai même pas un toit pour accueillir notre héritier. Je vais devoir cumuler des petits boulots pour construire une cabane.

 

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Prêt pour la naissance

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Après avoir cumulé des petits boulots et mon emploi de jardinier, j’ai pu enfin construire une petite hutte qui accueillera notre héritier, en espérant avoir un garçon. J’aime l’idée d’avoir une fille, mais je préfèrerais avoir un garçon premier né.

Ce matin, ma petite perle, tente de m’expliquer que même si elle est écologiste, on peut avoir une maison pour dormir et manger. J’ai beau faire de mon mieux, mais je me rends compte que ce n’est pas assez.

-Peut-être qu’il vaudrait mieux repartir sur le continent.

-Jamais, m’a-t-elle répondu, je n’élèverais pas mon bébé dans une ville polluée.

Sur ce, elle est partie, avec sa bande de collègue, nettoyer les plages.

N’ayant pas de réseau sur le terrain, j’attendrais d’être sur la colline pour trouver d’autres petits boulots. Ma douce veut une maison, elle aura sa maison, même si je dois bosser jour et nuit pour ça.

Quand je suis rentré à la maison, il n’y avait personne, j’ai eu très peur avant de lire le petit mot que m’avait laissé Elodie. « Le bébé arrive, je suis au dispensaire. »

Quand je l’ai rejoint, j’ai fait la connaissance de mon fils, mon héritier Théo. Un bébé…comme tous les bébés, petit, joufflu, qui ne sent pas terrible quand la couche est pleine et qui pleure on ne sait pas pourquoi. Vous vous attendiez à ce que j’écrive, un bébé magnifique, le plus joli des bébés ? Ben non, même s’il est beau c’est un bébé.

PS : Elodie, si tu lis mon journal, sache que notre Théo est le plus beau bébé du monde. Je t’aime à la folie ma petite perle, merci pour m’avoir donné mon fils. Oups, pardon, NOTRE fils.

Avec l’argent durement gagné, j’ai rajouté une pièce, une grande chambre où j’ai transporté notre matelas pneumatique et le berceau du bébé. Berceau gracieusement offert par le dispensaire.

Même si les murs sont faits avec des planches trouvées sur la plage, ils sont solides, et la paillasse sur le toit, nous protègera de la pluie. Bon, si on a un ouragan, on aura plus de toit, alors croisons les doigts pour que ça n’arrive pas.

Réveillé à quatre heures du matin par notre chérubin à la couche pleine n’est vraiment idéal, surtout quand on doit travailler le lendemain, sans compter les petits boulots à droite à gauche.

Quand notre amour de petit diable, s’est rendormi, Elodie et moi, avons été dehors prendre un peu l’air. Il fait tellement chaud, que c’est impossible pour moi de me rendormir.

C’est à ce moment là que ma petite perle me demande, avec des yeux énamourés, qu’elle aimerait que je lui fasse une terrasse. Elle en a marre de manger du sable en même temps que les grillades.

Promis, juré, tu auras ta terrasse. Dès que j’aurais un peu plus d’argent.

Ravie, elle est retournée finir sa nuit et moi je suis resté à regarder le ciel.

 

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Déjà un an

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Notre petit démon a eu ses un an. Il marche et il est très indépendant. Un peu grognon à ses heures. Ça c’est le côté obscur de sa mère.

Côté maison, je n’ai pas beaucoup avancé. Mis à part la terrasse tant attendue par ma petite femme. J’ai passé plus de neuf mois pour installer les pilotis, y a que dans les sims que c’est facile de mettre une terrasse sur l’eau.

Mais faut dire que c’est agréable de prendre son petit déjeuner sans grain de sable dedans.

Elodie l’adore et y passe beaucoup de temps. Moi je trouve que la table est trop grande, il faudra que j’en fasse une.

Nous n’avons toujours pas l’eau courante et l’électricité. Même si c’est galère pour nos boulots, on gère bien. L’avantage, on n’a pas de facture, l’inconvénient, on est obligé de mettre des pins de glace dans le frigo, que j’ai récupéré, pour garder nos aliments.

Le week-end, Elodie consacre ses après-midis à notre petit monstre. Il adore regarder sa mère faire des châteaux de sable pour les détruire dès qu’elle a le dos tourné.

J’aime le voir grandir ici, rien que pour ça, je ne regrette pas d’avoir tout quitté pour vivre sur cette île.

J’aimerais aussi passer du temps avec lui, lui apprendre à nager, lui montrer les poissons, mais je passe mon temps à fabriquer des objets utiles pour notre nid douillet. Rien de bien folichon, mais je m’améliore.

Trois semaines plus tard, un homme est venu me voir. Elodie et Théo étaient parti faire un tour.

Il m’a dit que nous pourrions avoir du réseau, électrique et eau potable, moyennement un financement de 80 000 §.

La bonne blague, je la sors d’où cette somme !

Toujours est-il, que j’en ai parlé à ma femme qui est restée choquée comme je l’ai été devant le mec en cravate.

J’avais que 1 077§ en réserve et je comptais acheter du matériel pour rajouter une pièce à la maison, histoire d’avoir un semblant de cuisine.

Je pense qu’à moins de trouver un trésor au fond de l’océan, nous soyons obligés de continuer avec les bougies et l’eau saumâtre.

Tu parles d’un destin !

Après une bonne discussion avec Elodie, nous avons préféré agrandir notre maison plutôt que de garder les fonds pour avoir le raccordement.

J’ai travaillé jour et nuit pour rajouter une chambre, mais ça valait vraiment le coup, avoir un petit coin rien qu’à nous vaut bien un raccordement.

Ma petite femme s’est mise à la peinture, espérant ainsi gagner plus d’argent. Il est bien évident pour l’achat du chevalet plus des toiles vierges, nous coûtent plus que ça nous rapporte, mais je n’ose pas lui dire.

Peut-être qu’a force de persévérance, ça nous rapportera, en tout cas, plus que la revente des coquillages que je ramasse sur la plage.

 

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Que le temps passe vite !

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L’archipel commence à reprendre vie. Le travail que nous avons fait pour cette île est vraiment magnifique.

Notre Théo a fêté son anniversaire sans gâteau, en même temps sans électricité, le four ne fonctionne pas. Il est très triste.

En tant qu’enfant de l’île, il aime nager dans l’océan et faire de la plongée. Il aime regarder les poissons et les coraux.

De mon côté, j’ai une promotion, je suis officiellement botaniste. Les fleurs et les plantes de l’île n’ont plus aucun secret pour moi.
Elodie, gagne un peu plus d’argent avec ses tableaux et surtout avec ses recherches qu’elle revend à un magazine.

J’ai enfin eu le plaisir de caresser un dauphin. Cela me donne encore plus envie d’aller nager chaque jour, même s’il ne vient pas tout le temps. Peut-être que les dauphins n’aiment pas l’hiver, l’océan est un peu plus froid. D’ailleurs, va falloir que je m’achète une combinaison de plonger, ça m’évitera d’avoir trop froid.

Moi qui voulais économiser pour faire le raccordement, ben ce n’est pas encore pour cette fois, Elodie attend notre deuxième enfant.

Je vais devoir trouver autre chose pour gagner encore plus d’argent ou alors expliquer à Théo et Elodie que nous allons continuer à prendre des douches à l’eau de mer.

Elodie a dû rester à la maison, elle est très malade et supporte assez mal sa grossesse. Je parie pour une fille. Quant à moi, je suis parti travailler au laboratoire.

Notre petite Mily est née deux semaines plus tard. Je le savais que c’était une fille.

Théo est légèrement jaloux, mais je lui ai expliqué qu’il serait toujours le premier né et quand tant que fils de la famille, c’est lui qui reprendrait notre flambeau familial. Je ne sais pas s’il a bien compris, mais il est allé se coucher tout content.

 

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Deuxième étape

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Notre petite Mily a bien grandit, très câline, elle demande beaucoup d’attention. C’est mon portrait sauf la couleur de ses yeux. Elle a les yeux de sa maman.

Notre maison a beaucoup changé, même si nous n’avons toujours pas le raccordement. Je travaille dur et Elodie aussi, mais mettre une si grosse somme d’argent de côté, à moins de faire un hold-up, je vois comment y arriver.

Théo a été puni plusieurs fois, il devient impossible. Pourtant, y a tellement de choses à découvrir sur cette île, je ne comprends pas pourquoi il fait autant de bêtises.

Alors, quand il est privé de sortie, comme en ce moment, il joue aux échecs avec sa maman. Y a quand même du bon dans les punitions.

Ce soir, notre fils est devenu un adolescent. Il travaille beaucoup à ses devoirs et il est très actif en ce qui concerne le sport. Enfant des îles, il aime nager dans l’océan et participer aux fêtes.

Ce soir, Théo a décidé de se mettre au yoga, il trouve qu’il ne fait qu’un avec la nature. Entre l’école, le sport et le yoga, il ne lui reste plus beaucoup de temps pour sortir avec des amis et ça m’attriste.

Mily est très colérique en ce moment, je suis constamment obligé de lui faire la morale, ça n’annonce rien de bon pour la suite.

Encore un anniversaire où ça pleurniche parce qu’il n’y a pas de gâteau ! Les enfants ont du mal à comprendre qu’on n’a pas de four et qu’il nous est impossible d’en faire un sur le barbecue.

Mily a été se coucher en pleurant, personne ne l’aime sinon elle aurait eu un gâteau, la vie n’est pas juste, et patati et patata !

 

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Nouvelle étape

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J’ai passé énormément de temps à fabriquer des meubles, ce qui nous permet de manger sur notre belle terrasse et en famille. Notre maison est devenue un vrai petit nid douillet et j’ai même fabriqué un endroit où Théo peut s’entrainer tout en regardant l’océan.

Elodie passe beaucoup de temps à nettoyer les plages et Mily l’accompagne le week-end. Elle aimerait bien voir la naissance de tortue de mer, mais pour ça, il faut que la plage soit propre, lui avait répondu sa mère.

Elodie n’était pas du tout contente quand elle s’est aperçue que notre fils s’était fait faire des tatouages par les anciens de l’île. Selon elle, il avait gâché un si joli corps qu’elle avait mis neuf mois à fabriquer. Selon moi, notre Théo voulait faire parti intégrante du peuple de Sulani, si je n’étais pas aussi chochotte, je me serais aussi fait tatouer.

Nos finances montent petit à petit, j’ai réussi à mettre de côté 20 000 § encore 40 et je ferais raccorder la maison.

Mily est passée dans l’âge dur pour les parents, l’adolescence. Elle est très proche de sa mère, travaille bien à ses devoirs pour faire une école des arts. Ce qui veut dire qu’elle partira sur le continent pour poursuivre ses rêves.

Théo est devenu un jeune adulte plein de projets, suivre les traditions de l’île. Il continue à faire du yoga, ce qui canalise ses points négatifs, mais c’est surtout qu’il aime être seul.

Et moi, je suis entré dans l’âge de la retraite mais je n’ai aucune envie de partir à la retraite pour l’instant, mon but étant de raccorder la maison, je dois continuer à travailler dur pour réaliser mon destin avant mon grand départ.

 

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► Remplir l'aspiration Vie à la plage

► Compléter la collection coquillage

► Atteindre le niveau 10 en bricolage

► Se lier d'amitié avec un dauphin


► Nettoyer l'île


► Construire sa maison

 

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Génération 2
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Tirage des dés :

1 - couple avec mariage
2 - 2 enfants
3 - Culinaire, branche Mixologue
4 - décès d'un proche. Une maladie a frappé l'île, le virus a été dramatiquement mortel. Vous avez perdu un proche. ( Vous êtes libre de choisir la victime, en dehors de l'héritier )

• Génération 2 : La Plage
Vous avez vu vos parents se battre pour cette île. Vous avez été bercé par les histoires de Sulani et ses habitants. Vous comptez bien aider à la reconstruction. Et comme l'endroit où vous passez le plus de temps est au bord de la plage, le choix est vite fait.

► Remplir l'aspiration Culturiste.
► Compléter la collection des poissons. ( minimum ceux de l’île )
► Atteindre le niveau 10 en Bien-être.
► Créer un groupe de 8 sims et réunissez-vous 1 fois par semaine.
► Payer 10 000 Simflouz afin de pouvoir construire la Plage.
► Optionnel : 7