Tout a commencé ici
Chapitre 28 : Le nouveau voisinEn guise de voisin, c'est une voisine qui accueille les visiteurs :
▬ Bonsoir, la famille Golant, je vous attendais ! Surpris, Henri demande :
▬ Vous nous connaissez ? La nouvelle voisine répond :
▬ Évidement, puisque vous êtes les amis de mes amies... Et en parlant d'elles, justement les voilà qui arrivent.
Tout le monde sort saluer leurs amies communes, puis la maîtresse de maison s'adresse à Julia :
▬ Quelle mal élevée, je ne me suis même pas présentée... Je m'appelle Julie.
Tandis qu' Huguette se tape la discute avec Sophie, Julia, Henri et Hugues répondent en cœur :
▬ Enchanté, Julie !
Partie remise le lendemain, pour rendre visite au marginal du quartier. Comme d'habitude, il n'y a personne
dans la baraque, le vieux Jerry est dans son jardin.
Madame Dyo fait les présentations :
▬ Alors, Jerry, comment vous la trouvez la petite nouvelle ?
▬ Tout à fait charmante ! Ah, si Jerry n'était pas aussi vieux...
Le vieil homme propose ses fruits et légumes :
▬ Si tu as besoin de quoi que se soit pour manger, surtout tu ne te gênes point ; hein !
▬ Merci, Jerry, mais vous savez, je n'ai pas beaucoup d'argent, prévient la jeune femme.
▬ Ça tombe bien, Jerry déteste le pognon, c'est pour ça que Jerry n'en a point !
Tout en avançant sa main vers la poitrine de la jeune femme, le vieux poursuit :
▬ Cré nom d'un chien, c'est vraiment dommage que Jerry ressemble à une vieille peau de banane,
sinon Julie aurais pu payer Jerry en nature !
Après quoi, le vieux fait les éloges de sa plante vache :
▬ Hein qu'elle est belle, la plante vache à Jerry... Regardez moi ces mamelles !
On a un peu de mal à suivre les discussions du vieux fou, mais en suivant son regard,
on peut supposer qu'il n'a pas tellement changé de sujet.
Par la suite, le vieux Jerry restera planté là, en admiration devant sa jeune voisine.
En voyant son chéri partir d'un bon pas, Julia pense qu'une paire de menottes seraient utiles pour le retenir.
Mais elle a l'air d'oublier qu'Henri a un métier et qu'il est en retard. Il n'est pas le seul, d’ailleurs...
Les enfants s'en retournent à leurs jeux. Ça fait longtemps qu'Hugues n'a pas vu son amie la Faucheuse.
A l'inverse de son frère, Huguette déteste ce personnage, qu'elle compare à un épouvantail :
▬ Franchement, Hugues, je ne vois pas ce que tu lui trouves, elle fait fuir les oiseaux !
Elle n'a pas dû beaucoup travailler à l'école, pour faire ce métier...
▬ Détrompes toi, Huguette, Faucheuse a fait ses études dans un régiment de char d'assaut.
▬ Faucheuse sur un char d'assaut... Je l'aurais plutôt vue sur une moissonneuse...
▬ Oh, et puis assez parlé d'elle, j'aimerais encore mieux un petit pingouin, comme ami.
On n'a pas fini de meubler la maison de mes poupées...
Entre temps, Henri a atteint le somment de sa carrière de musicien, qu'il a abandonnée,
pour se lancer dans celle d'astronaute.
Lorsque le cosmonaute rentre de son travail, son épouse le flatte :
▬ Ton uniforme te va à ravir ! Que tu es beau, mon chéri !
Le couple ferait bien des folies de leur corps, seulement voilà, si Henri manque la mission
professionnelle très importante qu'il a accepté, il risque de se retrouver sans emploi.
Cette mission ne devrait pas poser de problème, surtout avec cette fusée équipée des dernières technologies.
Henri promet de revenir très vite. Petit coucou avant le départ.
La suite, chapitre 29 : Bonne fête Papa
▬ Bonsoir, la famille Golant, je vous attendais ! Surpris, Henri demande :
▬ Vous nous connaissez ? La nouvelle voisine répond :
▬ Évidement, puisque vous êtes les amis de mes amies... Et en parlant d'elles, justement les voilà qui arrivent.
Tout le monde sort saluer leurs amies communes, puis la maîtresse de maison s'adresse à Julia :
▬ Quelle mal élevée, je ne me suis même pas présentée... Je m'appelle Julie.
Tandis qu' Huguette se tape la discute avec Sophie, Julia, Henri et Hugues répondent en cœur :
▬ Enchanté, Julie !
Partie remise le lendemain, pour rendre visite au marginal du quartier. Comme d'habitude, il n'y a personne
dans la baraque, le vieux Jerry est dans son jardin.
Madame Dyo fait les présentations :
▬ Alors, Jerry, comment vous la trouvez la petite nouvelle ?
▬ Tout à fait charmante ! Ah, si Jerry n'était pas aussi vieux...
Le vieil homme propose ses fruits et légumes :
▬ Si tu as besoin de quoi que se soit pour manger, surtout tu ne te gênes point ; hein !
▬ Merci, Jerry, mais vous savez, je n'ai pas beaucoup d'argent, prévient la jeune femme.
▬ Ça tombe bien, Jerry déteste le pognon, c'est pour ça que Jerry n'en a point !
Tout en avançant sa main vers la poitrine de la jeune femme, le vieux poursuit :
▬ Cré nom d'un chien, c'est vraiment dommage que Jerry ressemble à une vieille peau de banane,
sinon Julie aurais pu payer Jerry en nature !
Après quoi, le vieux fait les éloges de sa plante vache :
▬ Hein qu'elle est belle, la plante vache à Jerry... Regardez moi ces mamelles !
On a un peu de mal à suivre les discussions du vieux fou, mais en suivant son regard,
on peut supposer qu'il n'a pas tellement changé de sujet.
Par la suite, le vieux Jerry restera planté là, en admiration devant sa jeune voisine.
En voyant son chéri partir d'un bon pas, Julia pense qu'une paire de menottes seraient utiles pour le retenir.
Mais elle a l'air d'oublier qu'Henri a un métier et qu'il est en retard. Il n'est pas le seul, d’ailleurs...
Les enfants s'en retournent à leurs jeux. Ça fait longtemps qu'Hugues n'a pas vu son amie la Faucheuse.
A l'inverse de son frère, Huguette déteste ce personnage, qu'elle compare à un épouvantail :
▬ Franchement, Hugues, je ne vois pas ce que tu lui trouves, elle fait fuir les oiseaux !
Elle n'a pas dû beaucoup travailler à l'école, pour faire ce métier...
▬ Détrompes toi, Huguette, Faucheuse a fait ses études dans un régiment de char d'assaut.
▬ Faucheuse sur un char d'assaut... Je l'aurais plutôt vue sur une moissonneuse...
▬ Oh, et puis assez parlé d'elle, j'aimerais encore mieux un petit pingouin, comme ami.
On n'a pas fini de meubler la maison de mes poupées...
Entre temps, Henri a atteint le somment de sa carrière de musicien, qu'il a abandonnée,
pour se lancer dans celle d'astronaute.
Lorsque le cosmonaute rentre de son travail, son épouse le flatte :
▬ Ton uniforme te va à ravir ! Que tu es beau, mon chéri !
Le couple ferait bien des folies de leur corps, seulement voilà, si Henri manque la mission
professionnelle très importante qu'il a accepté, il risque de se retrouver sans emploi.
Cette mission ne devrait pas poser de problème, surtout avec cette fusée équipée des dernières technologies.
Henri promet de revenir très vite. Petit coucou avant le départ.
La suite, chapitre 29 : Bonne fête Papa
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