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Chapitre 14 : La vie continue
Ce jour-là en rentrant de l’école, Hugues est heureux en apercevant le couffin occupé par un joli bébé.
▬ Papa, maman, je suis si content, j’ai une petite sœur !
▬ A quoi vois-tu que c’est une fille ? Demande la maman.
▬ Elle est trop belle ! Les garçons ne sont pas aussi beaux… Elle s’appelle Huguette ?
▬ Naturellement, puisque c’est le féminin de Hugues…
▬ Ouais ! Super !
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Comme tous les soirs, les parents vont souhaiter une bonne nuit à leur fils.
Le papa, qui tente de s’éclipser discrètement, est aussitôt interpellé par son épouse :
▬ Henri, je peux savoir où tu vas, comme ça ?
▬ Ben, euh… Je vais travailler…
▬ Ne me fait pas avaler de couleuvres ! Tu vas travailler, alors que c’est ton jour de repos ?
▬ Mais je te l’ai dit ce matin, que j’allais donner un coup de main à Geoffrey, pour construire sa fusée.
▬ Ah oui, c’est vrai, j’ai complètement oublié. Excuse-moi chéri. Et vous travaillez la nuit ?
▬ Ben oui, c’est du travail au noir... Bon, allez, j’y vais.
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Julia ne parvient pas à s’endormir, le doute l’envahit de nouveau. La jeune femme appelle madame Plènozas :
▬ Bonsoir Nancy, je m’excuse de vous déranger, mais je voudrais savoir si Henri est chez vous.
▬ Bonsoir Julia, je ne sais pas, je rentre tout juste de mon travail. Attendez, je vais voir.
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Un simple coup d’œil par la baie vitrée, permet de voir Henri en train de s’affairer sur la fusée, mais Julia, a raccroché.
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Le jour commence à pointer et le montage de la fusée est bien avancé. Monsieur Plènozas est satisfait :
▬ Merci Henri, je ne suis pas manuel pour deux ronds ! Sans vous, je crois que je n’y serai jamais arrivé.
▬ Il ne faut pas vous sous-estimer, Geoffrey. Vous vous êtes très bien débrouillé avec le boulonnage.
▬ Oui, c’est vrai, mais ce n’est pas en jouant avec des boulons que nous allons gagner la coupe Davis.
Ce n’est pas le tout, après l’effort, le réconfort…Je meure de faim, vous mangerez bien un hot-dog, Henri...
▬ Ma fois, ce n’est pas de refus.
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Tout en dégustant leur repas, les deux hommes discutent fuséologie. Ils sont rejoints par madame Plènozas :
▬ Bonjour, les oiseaux de nuit ! Dites donc, vous n’avez pas chômé ! Geoffrey est content :
▬ Oui, c’est vrai, Nancy. Nous allons bientôt pouvoir nous envoyer en l’air, ah, ah, ah… L’épouse réagit :
▬ Je t’en prie, Geoffrey, un peu de retenue s’im te plaît…
▬ Ah, ben, si on ne peut plus plaisanter, où allons-nous ?
▬ Nous allons explorer l’espace, dans l’honneur et la dignité, dû à notre rang, cher ami.
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Les paupières d’Henri auraient besoin d’être soutenues par des allumettes pour rester ouvertes.
De peur, qu’il ne s’endorme en chemin, monsieur Plènozas raccompagne son "employé". Julia l’accueille les bras ouverts :
▬ Merci Geoffrey, de me ramener mon chéri ! Mais, dites-moi, il dort debout ?
▬ Oui, c’est vrai, c’est normal, il a travaillé toute la nuit comme un forcené. Julia s’excuse encore :
▬ J’ai été stupide de déranger Nancy pour rien cette nuit. Pour comble, notre communication a été coupée.
▬ Ce n’est pas grave, Julia. Nancy n’en a même pas parlé.
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Henri va rejoindre les enfants sur le canapé. Il lutte vainement contre le sommeil qui l’envahit.
La petite Laura Caliente demande à son meilleur ami :
▬ Dis-moi, Hugues, ton père n’a pas l’air de bien aller. C’est quoi son métier, déjà ?
▬ Papa est musicien, répond fièrement le garçonnet.
▬ Ah, c’est pour ça… Il travaille la nuit et le jour, il dort.
▬ Oui mais, c’est un papa chouette, tu sais…
▬ C’est ce que je vois... Et parfois, y bout… Non ?
▬ Ah, ah, ah… Tu es marrante, Laura. Je t’aime bien, tu sais. Toi aussi tu es chouette.
▬ Mais non, Hugues… Papa m’appelle ma petite poulette… Il appelle mes grandes sœurs, comme ça aussi.
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Le Samedi suivant, au déjeuner, la famille discute du réaménagement de la maison.
Hugues partagerait bien sa chambre avec sa sœur, mais la maman s’y oppose :
▬ Franchement chéri, un garçon et une fille ne peuvent pas dormir dans la même chambre…
▬ Tout à fait d’accord avec toi, ma chérie, répond le papa.
▬ Et si nous allions en discuter avec Sophie, comme pour le premier agrandissement, propose Julia.
▬ C’est une bonne idée, nous mettons Huguette à la garderie et nous y allons.
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Arrivé à la maison de l’association, Henri est accueilli par madame Dyosims :
▬ Bonjour Henri ! Quel bon vent t’amène ?
▬ Bonjour madame Dyosims, votre nouvelle coiffure vous va à ravir. Sophie est là ?
▬ Ah non, Sophie est partie faire un tour pour se calmer ! Figure toi qu’elle a été réveillée par un opérateur internet,
qui envoie des coups de perceuse à huit heure du matin un samedi ! Et Julia ne t’a pas accompagné ?
▬ Si, si, je crois qu’elle est passée par derrière…
▬ Je t’en prie, entre donc ! Et arrête de m’appeler madame Dyosims, appelle moi Dyo.
▬ Comme vous voulez madame Dyo.
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A l’intérieur, Julia se désespère de ses rondeurs. La maîtresse de maison lui donne un conseil :
▬ Moi aussi, j’avais grossie, surtout après avoir arrêté la simgarette. Je me suis mise à la natation, c’est un sport complet.
Tu devrais essayer Julia, tu m’en diras des nouvelles ! Anna, s’est remise à la gymnastique, elle garde sa ligne.
▬ Tu m’accompagne à ma prochaine séance, Henri ?
▬ Ça me tenterais bien, mais Julia ne voudra jamais… Trois tons plus bas, il ajoute :
▬ Elle est toujours aussi jalouse.
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Deux bonnes heures plus tard, Sophie n’est toujours pas revenue. Julia ne veut pas abuser :
▬ Chéri, nous n’allons pas déranger madame Dyosims plus longtemps, nous reviendrons dans la semaine.
▬ Mais, vous ne me dérangez pas. De toute façon, je n’étais pas rangée. Au fait, pour quoi vous vouliez voir Sophie ?
▬ C’est au sujet de notre maison, mais il n’y a pas le feu au lac, répond Henri.
▬ Ah oui, c’est vrai, il va encore vous manquer une chambre, mais si ça se passe comme la dernière fois, c’est que du bonheur.
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La suite, chapitre 15 : Le sept millième ciel
 

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Chapitre 15 : Le sept millième ciel
Depuis quelques temps, Julia se passionne pour la peinture, tandis qu’Henri s’est lancé dans la sculpture sur bois.
Ils utilisent la cave comme atelier.
Ce jour-là, le sculpteur semble se recueillir devant l’urne funéraire de l’ancien propriétaire.
Julia lui fait remarquer :
▬ Tu sais chéri, le "Dia de los Muertos" est terminé depuis un bon bout de temps.
▬ Oui, je sais ma chérie, ce n’est pas ça… Geoffrey a trouvé un peu plus de renseignements sur cet énigmatique individu.
▬ Je parie qu’il magouillait avec la pègre ! Geoffrey est au courant pour le magot ?
▬ Oui, je pense, il touche un peu en électricité, mais il ne m’en a pas parlé.
Par contre, il m’a dit quelque chose qui me chagrine un peu pour notre défunt bonhomme.
▬ Quoi donc, qui te chagrine mon chéri ?
▬ De son vivant, ce type n’a jamais voté et maintenant il se retrouve dans une urne
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Comme d’habitude, à la tombée de la nuit, Henri va chez son ami Geoffrey.
Sauf que cette fois, il demande à Julia et Hugues, de l’accompagner.
Après les salutations d’usage, Henri avoue sa complicité avec monsieur Plènozas :
▬ Ma chérie, si je t’ai demandé de venir avec moi, c’est parce que Geoffrey nous propose d’essayer sa fusée.
▬ Oui, c’est vrai, je l’ai moi-même essayé avec Nancy, je ne vous raconte pas… Le sept millième ciel !
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Les cosmonautes ont revêtu leur combinaison, Henri a ouvert le sas, mais Julia est hésitante :
▬ Tu es sûr de toi, chéri ? Nous reviendrons sains et saufs ?
▬ Fait-moi confiance, ma chérie… Regarde Geoffrey et va rassurée. Euh… Il ne regrette pas, je voulais dire.
▬ J’ai peur chéri…
▬ Mais, tu as toujours peur… La peur n’évite pas le danger, allez, grimpe là-dedans !
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Mise à feu des propulseurs ! La machine se met à vibrer, décolle et part vers l’espace, tel un boulet de canon.
Les cosmonautes éprouvent des sensations jamais ressenties jusqu’ici. Julia s’apaise peu à peu :
▬ Regarde chéri, c’est incroyable, toutes cette myriade d’étoiles… Mais, qu’est-ce tu fais ?
▬ Fait comme moi, ma chérie, nous allons essayer d’atteindre le sept millième ciel !
▬ Mais il n’y a pas assez de place ! Nous sommes pratiquement collés l’un à l’autre !
▬ Justement, c’est ce qu’il faut !
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Cette première sortie dans l’espace, est une éclate totale ! Le retour se passe sans encombre,
la fusée atterrie en douceur
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Monsieur Plènozas offre un verre aux cosmonautes pour marquer l’événement :
▬ Que diriez-vous d’un petit simrhum ? Je vous préviens, c’est du costaud !
▬ Non merci, Geoffrey, si c’est du costaud, comme vous dites, je préfère encore de l’eau, répond la jeune femme.
▬ Comme vous voulez Julia… Mais vous savez, l’eau aussi c’est costaud, ça porte les bateaux !
Autour de la table, la discussion tourne vers les astres. Julia reste sceptique sur une supposée vie sur la Lune :
▬ A votre avis, Geoffrey, Henri prétend que notre satellite naturel est habité. Vous y croyez ?
▬ Oui, c’est vrai, la nuit il y a tout le temps de la lumière sur la Lune… C’est qu’elle doit être habitée…
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Après quoi, les adultes vont rejoindre les enfants qui discutent de pêche dans le salon.
Le sujet plaît beaucoup à monsieur Plènozas :
▬ Oui, c’est vrai, les enfants, la pêche me donne la pêche, autrefois j’y étais mordu !
Que faites-vous ce week-end ?
▬ Nous n’avons rien de prévu, répond Henri.
▬ Que diriez-vous d’une partie de pêche dans un endroit où les poissons mordent de tout ?
La réponse affirmative est unanime et le petit groupe s’y voit déjà.
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Samedi matin, la partie de pêche n’est pas désagréable. Les gamins s’en donne à cœur joie, Julia est enchantée de ses prises.
Bizarrement, pour les hommes, les poissons sont trop malins. Henri persévère et demande à son ami :
▬ Vous abandonnez la partie, Geoffrey ?
▬ Soit j’ai une épouse fidèle, soit je suis un pauvre pêcheur… Ces fichus poissons ne veulent pas de mes appâts !
▬ Pourtant, regardez-moi ça, les poissons grouillent par ici, fait remarquer Henri.
▬ Oui c’est vrai, en plus ils me narguent !
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Julia n’arrête pas d’attraper des poissons, elle vient même de remonter une baie de plante vache !
Henri abandonne à son tour et discute avec son ami :
▬ C’est pas juste, j’en ai marre… Par contre j’irai bien voir de plus près cette belle maison de l’autre côté de la rivière… Vous m’accompagnez Geoffrey ?
▬ Oui, c’est vrai que c’est une jolie bâtisse, mais elle est en zone interdite. Nous ne pouvons pas y aller.
▬ Qu’est-ce encore que cette restriction… C’est nouveau ? Ça vient de sortir ?
▬ C’est la dure Sim-loi, Henri. Mais, vous savez, tout problème a sa solution. Elle vous plaît cette demeure ?
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Henri n’a pas le temps de répondre, Julia lâche sa canne, pour s’incruster dans la conversation :
▬ Il faudrait être vraiment difficile pour rechigner cette belle maison !
Quelque chose me dit que vous avez une idée, Geoffrey.
▬ Oui, c’est vrai, j’ai beaucoup d’idées et avec mes relations, il m’est facile d’en savoir plus sur cette propriété.
▬ Je vous en prie, Geoffrey, développez, s’im vous plaît, demande la jeune femme.
▬ Il suffit de retrouver les plans de cette maison et un terrain à bâtir pour l’y reconstruire à l’identique.
▬ Mais c’est génial, Geoffrey ! Moi aussi, j’ai ma petite idée sur la question, avoue Henri.
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Je jour suivant, Henri va jusque la maison de l’association dans l’espoir de rencontrer son amie Sophie,
afin de lui faire part de son projet immobilier.
Il est invité à entrer par madame Dyosims. Après les salutations, Henri demande :
▬ Sophie n’est pas là, je présume ?
▬ Tu présumes bien ! Tu devrais savoir que Sophie n’est jamais là, le Dimanche !
▬ Ah oui, c’est vrai, on est Dimanche…
▬ Oh, la, la, tu ne sais plus quel jour on est ? Si tu as envie de parler, je suis là…A moins que tu ne veuilles pas me voir.
▬ Ne croyez pas ça, madame Dyo. Vous êtes si charmante…
▬ C’est pas gentil ce que tu me dis là, Henri ! Je sais très bien que tu n’en penses pas un strict mot !
▬ Mais je vous assure madame Dyo, je vous aime bien et même que je parle de vous à mon ami Geoffrey.
▬ Geoffrey Plènozas ? Il me connait ? Viens me raconter ça !
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Peu à peu, la timidité que le jeune homme éprouve envers cette dame, s’évapore.
Henri s’enhardi et lui envoie un baiser.
Tant pis s’il reçoit une bonne baffe bien mérité, au moins il aura essayé.
La dame ne fait qu’en rire et taquine l’écervelé :
▬ Ma parole, mon petit Henri… Tu me dragues ? Et si Julia savait ça ?
Ces paroles ont pour effet de stopper net le rentre dedans, de l’apprenti Casanova.
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La suite, chapitre 16 : La chance !
 

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Mystie

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Quel plaisir de lire ça comme d'habitude !
Vont-ils déménager ? Ce serait bien !
Ou alors, la maison est-elle l'objet du prochain concours ? Haha.
En tout cas, ton humour est toujours parfait. Léger mais c'est comme si cette façon de parler était propre à tes Sims (faire des jeux de mots, j'entends).
Je sais pas trop comment expliquer, mais dans tous les cas, c'est parfait ! Très agréable à lire ! Vite, la suite ! :p
 

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Merci @Mystie, Je ne sais pas encore s'il vont déménager, mais il faut qu'ils trouvent une solution. La façon de parler de mes Sims est la mienne dans la réalité. (Bon, je ne récolte pas toujours des succès). :whistle:
 

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Chapitre 16 : La chance !
La nuit qui s'en suit, Hugues est réveillé par son estomac arrivé dans ses talons.
Il va grignoter des biscuits tout en regardant la télé.
Rassasié, le gamin va jeter un coup d’œil dans la chambre de ses parents,
qui est seulement occupée par le bébé qui dort paisiblement.
Papa et maman doivent encore êtres en train bricoler à la cave ,
alors pourquoi ne pas profiter du lit parental, beaucoup plus confortable.
Hugues se glisse sous la couette pour s'endormir profondément,
jusqu'à ce qu'il soit réveillé par les pleurs de sa petite sœur.
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Alertée, maman arrive naturellement dans la chambre, pour voir son fils affolé, qui lui demande :
▬ Qu'est-ce qu'elle a, Huguette ? Pourquoi elle pleure ? Elle est malade ?
▬ On peut le dire comme ça, mais c'est une bonne maladie, elle est comme toi, elle a faim. Répond Julia.
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Après avoir bu son biberon, le bébé est tous sourires.
Hugues n'a plus sommeil et de toutes façons, le jour se lève.
Maman garde encore un peu son bébé dans ses bras, tout en lui faisant des papouilles et de gros câlins.
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L'écolier est en avance, il prend une douche, s'habille , sort de la maison et dit bonjour à son papa,
qui lui répond :
▬ Bonjour mon fils, tu vas déjà à l'école ? Avec une heure d'avance, tu ne seras pas en retard !
▬ Regarde là-bas, papa, il y a James ! Je vais jouer un peu avec lui et après nous irons à l'école ensemble.
▬ Ben tiens, je n’ai rien de particulier à faire, je t’accompagne. James salut ses voisins :
▬ Bonjour tonton, salut Hugues, tu viens m’attraper ?
▬ Salut James, j’arrive !
▬ Dis-moi, James, ta maman est là ? Demande Henri au gamin perché sur son échelle.
▬ Oui, je crois bien qu’elle écoute de la musique.
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En effet, Aurélie se trémousse devant son poste de radio lorsqu’elle entend frapper à sa porte.
▬ Entre donc Henri… Salut beau musicien, tu aimes cette musique ?
▬ Salut Aurélie ! Comment savais-tu que c’était moi ?
▬ Ma maison a des fenêtres, et j’ai l’ouïe fine. Mais tu n’as pas répondu à ma question…
Tu aimes cette musique ?
Le musicien répond en chantant :
▬ Toute la musique, que j'aime ♪♫♪♫ Elle vient de là, elle vient du blues ♪♫♪♫
Les mots ne sont jamais les mêmes ♪♫♪♫ La jeune femme l’interrompt :
▬ Et moi, tu m’aimes ? Cette question déstabilise quel peu le jeune homme, qui bredouille :
▬ Heu… Oui, bien sûr… Comme cette musique… Comme ma voisine… Comme la meilleure amie de Julia…
Ouf, la dernière phrase d’Henri, a pour effet de repousser tout en douceur, les avances à peine voilées,
de sa charmante voisine.
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Courageux, mais pas téméraire, afin d'éviter de succomber à la tentation,
Henri préfère prendre congé de l'enjôleuse jeune femme.
Au moment où il sort de la maison, celle qu'il essaie de rencontrer depuis quelques jours,
marche d'un bon pas sur le trottoir.
Parfois, le hasard fait bien les choses, Henri lui lance :
▬ Hé, bonjour Sophie ! Tu tombes à pic comme un ver sur un fruit mûr, depuis le temps que je te cherche.
▬ Salut Henri, et bien voilà, tu m'as trouvé. Répond la jeune femme.
▬ Madame Dyo, t'as parlé, pour la maison ?
▬ Oui, oui, ben tiens, si tu as le temps, allons en discuter à la maison de l'association.
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Arrivé à destination, avant d'entrer, Henri demande :
▬ Dis-moi, Sophie, madame Dyo est ici ? Comment va t-elle ?
▬ Oui,oui, elle est ici, mais on ne peut pas dire que c'est le bonheur pour elle...
▬ Que lui est t-il arrivé... Rien de fâcheux j’espère ?
▬ Non, pas vraiment, mais tu sais, Henri, quand tu vas acheter un joli sapin naturel,
que tu passes du temps à le décorer et que le lendemain, les deux guirlandes électriques
ne fonctionnent plus, tu te retrouves en mode blasé.
▬ Ben, flûte, alors ! Je vais lui remonter le moral.
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Madame Dyo, complètement démoralisée, toute triste, assise sur un lit,
c'est bien la première fois qu'Henri voit ça. Il essaie de la réconforter :
▬ Vous savez, madame Dyo, ça va passer, parfois il y a pire dans la vie...
▬ Oui, ça je sais, mon petit Henri ! Le pire est arrivé quatre jours plus tard :
Après une énième remise à zéro de mon PC, grâce à un virus récalcitrant, je réinstalle mes Sims
et au passage, j'ai perdu toutes mes sauvegardes !
▬ Vous ne les aviez pas enregistrées sur une clé USB ?
▬ Non ! Quand je te dis que ça ne va pas...Tiens, je vais aller m'occuper de la plante vache,
avec un peu de chance, elle va m'avaler...
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La chance est au rendez-vous ! Qu'il est appétissant ce gâteau ! En le saisissant à la rapidité de l'éclair,
ça devrait le faire !
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La plante vache a été encore plus rapide ! Il n'y a plus qu'a passer à la douche,
si toutefois elle fonctionne ou ne soit pas occupée.
Il est des jours comme ça où cela ferait mieux d'être des nuits...
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Entre temps, Henri est revenu avec Sophie pour discuter de son projet immobilier.
La passionnée de constructions connaît la belle maison en question,
peut-être encore mieux que Monsieur Plènozas ; n'en déplaise à ce dernier.
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Allez, hop, au boulot ! Voyons voir s'il y a terrain de disponible à Willow Creek.
Sophie annonce les résultats de ses recherches :
▬ Désolé, Henri, il n'existe plus de terrain à bâtir à Willow Creek . Peut-être dans un autre endroit,
Oasis Springs, par exemple...
▬ Ah, tu sais Sophie, quitter ce quartier, mes voisins, voisines, mes bons amis, je ne sais pas si je m'y ferais...
▬ Sinon, il y a bien un grand terrain en amont de la rivière, mais il faudrait raser la vieille maison restée à l'abandon.
▬ Merci Sophie, cet endroit me plaît beaucoup plus, je vais en parler à mon ami Geoffrey et je te tiens au courant.
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La suite, chapitre 17 : La première pierre
 

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