Sims 4 Tout a commencé ici [Terminée]
- Auteur de la discussion Mick002
- Date de début
Parle pas de malheur !T'inquiètes, ça va venir ! ( Je dis çaHenri Golanten rigolant )
Tout a commencé ici
Chapitre 24 : Faits et méfaits
Malcolm Plènozas est persuadé que sa dernière heure est arrivée. Perdu pour perdu, il salut Faucheuse :
▬ Et bonjour, Madame la Faucheuse, que vous êtes jolie ! Que vous me semblez merveilleuse !
Sans mentir, si votre fauchage se rapporte à votre nuage, vous êtes la star de ce parc.
À ces mots, la Faucheuse ne se sent plus de joie :
▬ Bonjour Malcolm, je suis peut-être de noir vêtue, mais je ne suis pas celui que tu "croas".
Je vois que tu as fais des études ; moi non plus ; tu devrais comprendre que tu fais du mal à tes parents.
Tu vas me dire que je suis mal placée pour te faire la morale à ce sujet, mais...
S'approchant de l'oreille du jeunot, afin que personne d'autre ne puisse entendre, Faucheuse poursuit :
▬ Il faut combattre le mal par le mal ! Fais en sorte que ton père, aime ta fiancée...
Tu vois ce que je veux dire... Ça ne devrait pas être compliqué pour toi, de leur organiser un rencard...
Le jeunot a peur de comprendre :
▬ Mais c'est maléfique ce que vous proposez, là... Faucheuse avoue :
▬ Venant de ma part, il ne faut pas t'attendre à autre chose ! Avant de faire la paix, il faut faire la guerre !
J'ai encore une bonne nouvelle pour toi : Ton âme ne figure pas sur mon programme de fauchage.
Dans la foulée, Geoffrey Plènozas tient à régler ses comptes en poursuivant la fiancée de Malcolm jusque chez elle.
Le vieux Jerry, en train de bricoler dans son jardin, sursaute à l'intrusion de l'assaillant :
▬ Cré nom d'un chien ! Tout le monde veut la mort de Jerry !
D'où que t'y cours donc comme ça, bon de là de Geoffrey ?
▬ Bonjour Jerry, je m'excuse de t'avoir fait peur, mais j'aurais deux mots à dire à ta fille.
▬ Tu as de la chance, la fille à Jerry vient tout juste de rentrer ! La fille à Jerry n'a point de client pour l'instant...
Jerry ne t'accompagne point, tu sais où est l'atelier... Et bon crac-crac, bon de là de Geoffrey !
Plènozas se défend :
▬ Ce n'est certainement pas ces mots là que j'ai à dire à ta fille ; esprit mal placé !
Jerry répond du tac au tac :
▬ Faut jamais dire fontaine, je ne boirais point de ton eau, bon de là de Geoffrey !
Tel un enragé, l’excité se jette sur sa victime, l'attrapant par les cheveux, pour la rouer de coups, en hurlant :
▬ Petite saleté ! Je vais te flanquer une bonne raclée, qui te servira de leçon !
Une chose que Geoffrey semble ignorer, c'est que la "petite saleté", sait se défendre et se battre !
Fin du premier round, les combattants font une pause. La jeune fille demande à son adversaire :
▬ C'est bon ; comme ça... Ou vous en voulez encore ? Geoffrey bafouille :
▬ Je ne sais pas ce qui m'a pris... Je ne suis pas dans mon état normal... J'ai dû boire un coup de trop...
La jeune fille profite de la situation :
▬ Vous savez, Geoffrey ; je t'aime bien moi... Bon, j'aime mieux Malcolm, mais si tu veux un peu de bonheur...
Plènozas père est mal à l'aise :
▬ J'ai été ignoble avec toi et Malcolm... Qu'est-ce que je pourrais bien faire, pour me faire pardonner ?
Pour toute réponse, la fille lui tend ses lèvres.
Puis le combat reprend, dans un autre endroit, d'un genre tout à fait différent... La fille défie Geoffrey :
▬ Je te donne une chance de revanche ! Voyons comment tu te défends au champ de bataille !
Vérification de l'arme avant le combat. Le mâle, sûr de lui :
▬ C'est bon ; prêt à faire feu !
La fille, moins sûre d'elle, en voyant l'objet :
▬ Hou-la, la ! Mais, c'est un gros calibre !
Fin du deuxième round : Plènozas, vaincu par K.O. !
Le lendemain matin, Nancy Plènozas déambule dans la rue, elle semble complètement bouleversée.
▬ Bonjour, Nancy, ça n'a pas l'air d'aller, dit Henri. Nancy répond :
▬ Bonjour les amis ! Figurez vous, que Geoffrey n'est pas rentré à la maison depuis hier,
après être parti du parc au pas de charge. J'ai peur qu'il lui soit arrivé quelque chose...
▬ Vous avez été voir la police ? Demande Julia.
▬ Tu parles ! Ils m'ont dit que ça ne les regardait pas et que j'aille voir aux objets trouvés. Pff !
Nancy raconte sa version :
▬ L'intervention de la Faucheuse n'était pas prévue au programme... Malcolm s'est senti visé et après,
je ne sais pas ce que qu'ils ont comploté... En fait, Geoffrey, voulait la peau de cette petite garce,
mais c'est peut-être elle, qui a eue la sienne...
Henri suppose :
▬ Geoffrey est peut-être allé discuter avec elle, hier... Peut-être qu'il y est encore... Vous avez été voir ?
▬ Je connais mon mari, s'il est allé chez cette petite dévergondée, ce n'est certainement pas pour discuter !
Il n'est pas question que je mette un pied chez ces gens là ! Mais j'y pense... Si ça se trouve,
elle a séquestré Geoffrey et elle va me demander une rançon...
Henri rebondit :
▬ Hou là, là, mais vous êtes encore pire que Julia, pour vous faire des idées comme ça !
▬ Nancy, là, vous frisez la parano, ajoute Julia.
Nancy admet :
▬ Oui, c'est vrai, je suis ridicule, ils ne sont pas matérialistes, Jerry nous apporte des fruits et légumes,
toutes les semaines, contre seulement un petit sourire, un peu de pétrole et du bois mort.
Henri positive :
▬ Bien vu, Nancy ! Vous avez fait un grand pas en avant ! Si vous voulez, nous pouvons vous accompagner,
pour en faire un deuxième...
Julia collabore :
▬ C'est pour la bonne cause, alors je suis partante !
Nancy se rallie:
▬ Vous, au moins, vous êtes de vrais amis ! Allons-y contre vents et marrées !
La suite, chapitre 25 : Recherche mouvementée
▬ Et bonjour, Madame la Faucheuse, que vous êtes jolie ! Que vous me semblez merveilleuse !
Sans mentir, si votre fauchage se rapporte à votre nuage, vous êtes la star de ce parc.
À ces mots, la Faucheuse ne se sent plus de joie :
▬ Bonjour Malcolm, je suis peut-être de noir vêtue, mais je ne suis pas celui que tu "croas".
Je vois que tu as fais des études ; moi non plus ; tu devrais comprendre que tu fais du mal à tes parents.
Tu vas me dire que je suis mal placée pour te faire la morale à ce sujet, mais...
S'approchant de l'oreille du jeunot, afin que personne d'autre ne puisse entendre, Faucheuse poursuit :
▬ Il faut combattre le mal par le mal ! Fais en sorte que ton père, aime ta fiancée...
Tu vois ce que je veux dire... Ça ne devrait pas être compliqué pour toi, de leur organiser un rencard...
Le jeunot a peur de comprendre :
▬ Mais c'est maléfique ce que vous proposez, là... Faucheuse avoue :
▬ Venant de ma part, il ne faut pas t'attendre à autre chose ! Avant de faire la paix, il faut faire la guerre !
J'ai encore une bonne nouvelle pour toi : Ton âme ne figure pas sur mon programme de fauchage.
Dans la foulée, Geoffrey Plènozas tient à régler ses comptes en poursuivant la fiancée de Malcolm jusque chez elle.
Le vieux Jerry, en train de bricoler dans son jardin, sursaute à l'intrusion de l'assaillant :
▬ Cré nom d'un chien ! Tout le monde veut la mort de Jerry !
D'où que t'y cours donc comme ça, bon de là de Geoffrey ?
▬ Bonjour Jerry, je m'excuse de t'avoir fait peur, mais j'aurais deux mots à dire à ta fille.
▬ Tu as de la chance, la fille à Jerry vient tout juste de rentrer ! La fille à Jerry n'a point de client pour l'instant...
Jerry ne t'accompagne point, tu sais où est l'atelier... Et bon crac-crac, bon de là de Geoffrey !
Plènozas se défend :
▬ Ce n'est certainement pas ces mots là que j'ai à dire à ta fille ; esprit mal placé !
Jerry répond du tac au tac :
▬ Faut jamais dire fontaine, je ne boirais point de ton eau, bon de là de Geoffrey !
Tel un enragé, l’excité se jette sur sa victime, l'attrapant par les cheveux, pour la rouer de coups, en hurlant :
▬ Petite saleté ! Je vais te flanquer une bonne raclée, qui te servira de leçon !
Une chose que Geoffrey semble ignorer, c'est que la "petite saleté", sait se défendre et se battre !
Fin du premier round, les combattants font une pause. La jeune fille demande à son adversaire :
▬ C'est bon ; comme ça... Ou vous en voulez encore ? Geoffrey bafouille :
▬ Je ne sais pas ce qui m'a pris... Je ne suis pas dans mon état normal... J'ai dû boire un coup de trop...
La jeune fille profite de la situation :
▬ Vous savez, Geoffrey ; je t'aime bien moi... Bon, j'aime mieux Malcolm, mais si tu veux un peu de bonheur...
Plènozas père est mal à l'aise :
▬ J'ai été ignoble avec toi et Malcolm... Qu'est-ce que je pourrais bien faire, pour me faire pardonner ?
Pour toute réponse, la fille lui tend ses lèvres.
Puis le combat reprend, dans un autre endroit, d'un genre tout à fait différent... La fille défie Geoffrey :
▬ Je te donne une chance de revanche ! Voyons comment tu te défends au champ de bataille !
Vérification de l'arme avant le combat. Le mâle, sûr de lui :
▬ C'est bon ; prêt à faire feu !
La fille, moins sûre d'elle, en voyant l'objet :
▬ Hou-la, la ! Mais, c'est un gros calibre !
Fin du deuxième round : Plènozas, vaincu par K.O. !
Le lendemain matin, Nancy Plènozas déambule dans la rue, elle semble complètement bouleversée.
▬ Bonjour, Nancy, ça n'a pas l'air d'aller, dit Henri. Nancy répond :
▬ Bonjour les amis ! Figurez vous, que Geoffrey n'est pas rentré à la maison depuis hier,
après être parti du parc au pas de charge. J'ai peur qu'il lui soit arrivé quelque chose...
▬ Vous avez été voir la police ? Demande Julia.
▬ Tu parles ! Ils m'ont dit que ça ne les regardait pas et que j'aille voir aux objets trouvés. Pff !
Nancy raconte sa version :
▬ L'intervention de la Faucheuse n'était pas prévue au programme... Malcolm s'est senti visé et après,
je ne sais pas ce que qu'ils ont comploté... En fait, Geoffrey, voulait la peau de cette petite garce,
mais c'est peut-être elle, qui a eue la sienne...
Henri suppose :
▬ Geoffrey est peut-être allé discuter avec elle, hier... Peut-être qu'il y est encore... Vous avez été voir ?
▬ Je connais mon mari, s'il est allé chez cette petite dévergondée, ce n'est certainement pas pour discuter !
Il n'est pas question que je mette un pied chez ces gens là ! Mais j'y pense... Si ça se trouve,
elle a séquestré Geoffrey et elle va me demander une rançon...
Henri rebondit :
▬ Hou là, là, mais vous êtes encore pire que Julia, pour vous faire des idées comme ça !
▬ Nancy, là, vous frisez la parano, ajoute Julia.
Nancy admet :
▬ Oui, c'est vrai, je suis ridicule, ils ne sont pas matérialistes, Jerry nous apporte des fruits et légumes,
toutes les semaines, contre seulement un petit sourire, un peu de pétrole et du bois mort.
Henri positive :
▬ Bien vu, Nancy ! Vous avez fait un grand pas en avant ! Si vous voulez, nous pouvons vous accompagner,
pour en faire un deuxième...
Julia collabore :
▬ C'est pour la bonne cause, alors je suis partante !
Nancy se rallie:
▬ Vous, au moins, vous êtes de vrais amis ! Allons-y contre vents et marrées !
La suite, chapitre 25 : Recherche mouvementée
Dernière édition:
- 6 Janvier 2009
- 16 364
- 3 639
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- 53
Hâte de lire la suite !!
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Chapitre 25 : Recherche mouvementée
Comme s'il y avait passé la nuit, le vieux Jerry est encore dans son jardin. Nancy Plènozas l'interpelle :
▬ Bonjour Jerry, vous ne sauriez pas où est mon mari, par hasard ?
▬ Oh bonjour, Nancy ! Bonjour Julia ! Bonjour Henri ! La dernière fois que Jerry a vu Geoffrey,
c'était hier en fin d'après midi, ici même !
▬ Et donc, il a passé la nuit chez vous ? Demande Nancy.
▬ Ma foi, non ! Geoffrey avait simplement deux mots à dire à la fille à Jerry... Point besoin d'une nuit,
pour dire deux mots...
▬ Mais à quelle heure est-il parti de chez vous ?
▬ Ben ma foi, Jerry n'a point fait attention...
▬ Et votre fille, est ici ?
▬ Ah non, la fille à Jerry est partie à la pêche, toute seule, comme une grande, à bonne heure au matin...
Soupçonneux, Henri demande à son voisin :
▬ Franchement, monsieur Jerry, vous ne savez vraiment pas où est Geoffrey ?
Le vieil homme s'énerve un peu :
▬ Cré nom d'un chien ! Mais vous êtes tous enrhumés du cerveau, au matin ! Geoffrey n'a t'y point un métier ?
À cette question, le visage de Nancy s'illumine. Elle s'exclame :
▬ Mais, c'est bien sûr ! Qu'elle blonde je suis ! Il y a belle lurette, que Geoffrey est à son travail ! Merci Jerry,
je ne sais pas ce qui me retient de vous embrasser ! Jerry réplique :
▬ Calmez-vous Nancy, vous allez faire devenir Jerry encore plus fou qu'il est ! Puis s'adressant à son voisin :
▬ Et toi, Henri, tu m'appelles encore une fois monsieur, je te fais bouffer par ma plante vache ! Pigé ?
Et c'est pas le tout, causer, ça donne soif, cré nom d'un chien ! Allez, on va boire un coup !
Le vieux Jerry possède une cave bien garnie ! En cas d'invasion extra-terrestre, il ne mourra pas de soif !
Tandis que les femmes se désaltèrent, les hommes discutent. Henri demande :
▬ Dites-moi, Jerry, votre fille a bien un prénom ?
▬ Ben oui, la fille à Jerry s'appelle Ella... Ella Cochet ! Et avec Malcolm, elle a coché le bon numéro !
Nancy demande à Jerry d’approfondir . Le vieil homme dit ce qu'il pense :
▬ Quand la fille à Jerry est dans les bras de Malcolm, la fille à Jerry ne pense plus qu'a Malcolm !
Jerry aime bien le petit Malcolm... Malcolm est très intelligent, Malcolm a très bien compris que si la fille à Jerry
est comme ça, c'est point de sa faute, la pauvre petite...
La propreté des verres, laissant à désirer, Nancy préfère boire dans un bol flambant neuf.
L'atmosphère devient de plus en plus détendue, jusqu'à ce que la blonde se lève de sa chaise en titubant.
Henri a tout juste le temps de rattraper le bol, tandis que Jerry s'inquiète :
▬ Ça ne va point, Nancy ? Vous n'allez point nous faire un malaise ? Entre hoquets, Nancy bredouille :
▬ Hic ! J'ai la tête... Hic ! Qui tourne... Hic ! Jerry propose :
▬ Venez vous allonger un peu, ça va passer. Vous allez y arriver ou faut-y que Jerry vous donne un coup de main ?
Tant bien que mal, le vieux Jerry aide Nancy à atteindre le lit. Puis s'adressant au mannequin :
▬ Eva, je te présente Nancy Plènozas... Tu vois Eva, est va point bien non plus... Je te la confie,
je reviens ce tantôt. Si elle se réveille, tu lui fait point peur surtout ! tu restes dans ton coin, hein ?
Quelques heures plus tard, Jerry réveille Nancy qui a du mal à émerger :
▬ Où suis-je ? Que m'est-il arrivé ? Le vieux bonhomme répond par une autre question :
▬ Vous vous souvenez d'être descendue à la cave de Jerry ?
▬ Oui, ça je m'en souviens, mais c'est après...
▬ Et ben, vous avez dû avoir ce qu'on appelle communément, l'ivresse des profondeurs.
Nancy ne rêve pas, elle est prise de démangeaisons et demande :
▬ Je peux emprunter votre salle de bain ?
Le vieil homme conduit Nancy jusque l'endroit où il ne doit pas aller souvent :
▬ Voilà, Nancy, faite comme chez vous, Jerry vous lèche...Heu, vous laisse, il voulait dire.
La crasseuse baignoire en bois ne donne vraiment pas envie de l'utiliser.
Le lavabo est encore pire, quant aux toilettes, mieux vaut ne pas déranger ses habitants !
Non, ce n'est pas possible, allons plutôt voir à côté.
Nancy s'évade du taudis pour se rendre à la maison voisine, où vit la famille Golant. Elle frappe à la porte :
▬ Entrez ! Répond le maître des lieux.
Le père et le fils sont à table, Henri invite son amie à se joindre à eux. Nancy le remercie :
▬ C'est gentil, mais j'ai déjà l'estomac à genoux qui demande pardon,
si je lui en donne encore, il va renvoyer la marchandise !
▬ Asseyez vous quand même, racontez-moi comment ça s'est passé...
La blonde raconte :
▬ Ça c'est passé avec des puces ! Elles pullulent, là bas, ça me gratte partout !
Huguette, venue rejoindre le trio, propose une solution :
▬ Vous voulez prendre un bain ? Comme ça vous pourrez les noyer ces sales bêtes !
▬ Ce n'est pas de refus... Puis-je me permettre, Henri ?
▬ Naturellement ! Si vous voulez bien me suivre, je vous y conduit.
Dans la salle de bain, Nancy commence à se déshabiller. Henri respecte l'intimité de son amie :
▬ Bien, je vous laisse, je sors.
▬ Vous pouvez rester, Henri... Je n'ai rien à cacher et puis vous pourrez me frotter le dos,
dit la blonde, d'une voix enjôleuse.
▬ Désolé, Nancy, il est vingt et une heure, Julia ne va pas tarder à rentrer de son travail et si elle nous surprend,
je n'ose même pas penser à la suite...
La suite, chapitre 26 : Un peu de sport
▬ Bonjour Jerry, vous ne sauriez pas où est mon mari, par hasard ?
▬ Oh bonjour, Nancy ! Bonjour Julia ! Bonjour Henri ! La dernière fois que Jerry a vu Geoffrey,
c'était hier en fin d'après midi, ici même !
▬ Et donc, il a passé la nuit chez vous ? Demande Nancy.
▬ Ma foi, non ! Geoffrey avait simplement deux mots à dire à la fille à Jerry... Point besoin d'une nuit,
pour dire deux mots...
▬ Mais à quelle heure est-il parti de chez vous ?
▬ Ben ma foi, Jerry n'a point fait attention...
▬ Et votre fille, est ici ?
▬ Ah non, la fille à Jerry est partie à la pêche, toute seule, comme une grande, à bonne heure au matin...
Soupçonneux, Henri demande à son voisin :
▬ Franchement, monsieur Jerry, vous ne savez vraiment pas où est Geoffrey ?
Le vieil homme s'énerve un peu :
▬ Cré nom d'un chien ! Mais vous êtes tous enrhumés du cerveau, au matin ! Geoffrey n'a t'y point un métier ?
À cette question, le visage de Nancy s'illumine. Elle s'exclame :
▬ Mais, c'est bien sûr ! Qu'elle blonde je suis ! Il y a belle lurette, que Geoffrey est à son travail ! Merci Jerry,
je ne sais pas ce qui me retient de vous embrasser ! Jerry réplique :
▬ Calmez-vous Nancy, vous allez faire devenir Jerry encore plus fou qu'il est ! Puis s'adressant à son voisin :
▬ Et toi, Henri, tu m'appelles encore une fois monsieur, je te fais bouffer par ma plante vache ! Pigé ?
Et c'est pas le tout, causer, ça donne soif, cré nom d'un chien ! Allez, on va boire un coup !
Le vieux Jerry possède une cave bien garnie ! En cas d'invasion extra-terrestre, il ne mourra pas de soif !
Tandis que les femmes se désaltèrent, les hommes discutent. Henri demande :
▬ Dites-moi, Jerry, votre fille a bien un prénom ?
▬ Ben oui, la fille à Jerry s'appelle Ella... Ella Cochet ! Et avec Malcolm, elle a coché le bon numéro !
Nancy demande à Jerry d’approfondir . Le vieil homme dit ce qu'il pense :
▬ Quand la fille à Jerry est dans les bras de Malcolm, la fille à Jerry ne pense plus qu'a Malcolm !
Jerry aime bien le petit Malcolm... Malcolm est très intelligent, Malcolm a très bien compris que si la fille à Jerry
est comme ça, c'est point de sa faute, la pauvre petite...
La propreté des verres, laissant à désirer, Nancy préfère boire dans un bol flambant neuf.
L'atmosphère devient de plus en plus détendue, jusqu'à ce que la blonde se lève de sa chaise en titubant.
Henri a tout juste le temps de rattraper le bol, tandis que Jerry s'inquiète :
▬ Ça ne va point, Nancy ? Vous n'allez point nous faire un malaise ? Entre hoquets, Nancy bredouille :
▬ Hic ! J'ai la tête... Hic ! Qui tourne... Hic ! Jerry propose :
▬ Venez vous allonger un peu, ça va passer. Vous allez y arriver ou faut-y que Jerry vous donne un coup de main ?
Tant bien que mal, le vieux Jerry aide Nancy à atteindre le lit. Puis s'adressant au mannequin :
▬ Eva, je te présente Nancy Plènozas... Tu vois Eva, est va point bien non plus... Je te la confie,
je reviens ce tantôt. Si elle se réveille, tu lui fait point peur surtout ! tu restes dans ton coin, hein ?
Quelques heures plus tard, Jerry réveille Nancy qui a du mal à émerger :
▬ Où suis-je ? Que m'est-il arrivé ? Le vieux bonhomme répond par une autre question :
▬ Vous vous souvenez d'être descendue à la cave de Jerry ?
▬ Oui, ça je m'en souviens, mais c'est après...
▬ Et ben, vous avez dû avoir ce qu'on appelle communément, l'ivresse des profondeurs.
Nancy ne rêve pas, elle est prise de démangeaisons et demande :
▬ Je peux emprunter votre salle de bain ?
Le vieil homme conduit Nancy jusque l'endroit où il ne doit pas aller souvent :
▬ Voilà, Nancy, faite comme chez vous, Jerry vous lèche...Heu, vous laisse, il voulait dire.
La crasseuse baignoire en bois ne donne vraiment pas envie de l'utiliser.
Le lavabo est encore pire, quant aux toilettes, mieux vaut ne pas déranger ses habitants !
Non, ce n'est pas possible, allons plutôt voir à côté.
Nancy s'évade du taudis pour se rendre à la maison voisine, où vit la famille Golant. Elle frappe à la porte :
▬ Entrez ! Répond le maître des lieux.
Le père et le fils sont à table, Henri invite son amie à se joindre à eux. Nancy le remercie :
▬ C'est gentil, mais j'ai déjà l'estomac à genoux qui demande pardon,
si je lui en donne encore, il va renvoyer la marchandise !
▬ Asseyez vous quand même, racontez-moi comment ça s'est passé...
La blonde raconte :
▬ Ça c'est passé avec des puces ! Elles pullulent, là bas, ça me gratte partout !
Huguette, venue rejoindre le trio, propose une solution :
▬ Vous voulez prendre un bain ? Comme ça vous pourrez les noyer ces sales bêtes !
▬ Ce n'est pas de refus... Puis-je me permettre, Henri ?
▬ Naturellement ! Si vous voulez bien me suivre, je vous y conduit.
Dans la salle de bain, Nancy commence à se déshabiller. Henri respecte l'intimité de son amie :
▬ Bien, je vous laisse, je sors.
▬ Vous pouvez rester, Henri... Je n'ai rien à cacher et puis vous pourrez me frotter le dos,
dit la blonde, d'une voix enjôleuse.
▬ Désolé, Nancy, il est vingt et une heure, Julia ne va pas tarder à rentrer de son travail et si elle nous surprend,
je n'ose même pas penser à la suite...
La suite, chapitre 26 : Un peu de sport
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Chapitre 26 : Un peu de sport
Il s'en est fallu de peu ! Juste au moment où Henri sort de la salle de bain, Julia s'apprête à y entrer.
▬ Ma chérie ! La journée s'est bien passée ? Demande l'époux.
▬ Assez bien, dans l'ensemble, il y a eu pire. Il y a quelqu'un, dans la salle de bain ?
▬ Oui, c'est Nancy, justement tu tombes bien, tu vas pouvoir lui venir en aide, elle s'est faite attaquée
par des régiments de puces !
▬ Qu'est-ce c'est que cette histoire ?
▬ Vas la voir, elle va t'expliquer... Julia frappe à la porte et demande :
▬ Je peux entrer, Nancy ?
▬ Oui, oui, entre donc Julia !
Nancy Plènozas raconte ses péripéties de la journée à son amie, pour conclure :
▬ Je suis vraiment navrée de vous importuner de la sorte et le pire c'est que je ne vais pas pouvoir renfiler
mes vêtements infestés de ces sales bêtes ! Julia propose :
▬ Je dois avoir ce qu'il faut à votre taille, je vous rapporte ça.
Un quart d'heure plus tard, Nancy rejoint ses amis dans la salle à manger :
▬ Merci, Julia, je passerai demain, te rendre tous ça.
▬ Si elle vous plaît, vous pouvez garder la robe, je déteste le jaune !
Henri crois bon de préciser pourquoi :
▬ Oui, sauf votre respect, Nancy, Julia, dit que le jaune est la couleur des cocus.
Bien que fatiguée, Julia réagit :
▬ Je t'en prie Henri, modère tes expressions ! Bon, je tombe de sommeil, bonne nuit...
Le jeune homme, lui, est en peine forme ! Devant la musique entraînante du Jukebox, il invite Nancy :
▬ Madame Plènozas, m'accorderiez vous cette danse ?
▬ Franchement, Henri, là, je n'ai pas du tout envie de danser... Et puis je dois rentrer chez moi,
Geoffrey va s’inquiéter et ce serait le comble qu'il me cherche à son tour.
Néanmoins, pour ne pas décevoir son ami, la blonde fait quelques pas de danse, embrasse son cavalier,
entre le nez et le menton, en guise d’au revoir, puis rentre chez elle.
Le lendemain, tard dans la matinée, Julia réveille son oiseau de nuit :
▬ Debout là dedans ! Il est presque midi, les grillades de Jasmine nous attendent !
Henri à un peu de mal de quitter son lit :
▬ Bonjour ma chérie ! Bon, ben, quand faut y aller, faut y aller...
▬ Comme tu dis, mon chéri, mais tu vas quand même t'habiller ; avant ?
▬ Naturellement ! Tu vas me chercher mes vêtements ? S'im te plaît, ma chérie...
Elles étaient délicieuses, les grillades de Jasmine ! Si on s'écoutait, on ferrait comme Hugues, on en reprendrait !
▬ Qu'est-ce qu'on fait, cet après midi ? Demande Julia. Henri a une idée :
▬ J'irais bien faire un peu de sport à "Bouge Ton Corps". Julia est partante :
▬ Oui c'est une bonne idée, mais les enfants vont s' ennuyer là-bas et on ne peut pas les laisser seuls ici.
Décidément, Huguette trouve toujours une parade :
▬ On est pas tout seuls, Jasmine est avec nous, on ira jouer dans la piscine...
Devant la salle de sport, les femmes de l'association, sont également venues s’exercer sur les différents appareils,
mis à disposition. Henri discute de techniques de sport avec madame Dyo, tandis que Julia félicite Anna :
▬ C'est pour bientôt, dis donc ! Dans un mois ?
Mettant fièrement son ventre rond en valeur, la future maman répond :
▬ Oui, c'est ça, à quelques jours près...
Bien qu'ayant revêtue sa tenue de sport, Anna, est restée prudemment assise, à encourager ses amies.
Henri demande :
▬ Élodie ne veut pas perdre son embonpoint ? Elle n'est pas avec vous ? Madame Dyo rétorque :
▬ Entre dans la salle, mon petit Henri... Et tu vas voir, comme Élodie à bien changée,
depuis la dernière fois que tu l'a vue...
Effectivement, Henri a du mal à reconnaître la jeune femme :
▬ Élodie ? C'est bien toi ?
▬ Ben, oui, je n'ai pas de sœur jumelle et je ne me connais pas de sosie...
Henri aurait bien ajouté quelques mots de compliments, mais l'arrivée de son épouse le laisse sans voix.
Le jeune homme reste planté là, quasiment au garde à vous. Élodie lui murmure :
▬ Je peux te demander un petit service, Henri ?
Le jeune homme craint le pire :
▬ Heu... Ça dépend quel petit service...
▬ Tu ne pourrais pas distraire l'entraîneur, il n'arrête pas de me draguer depuis que je suis arrivée.
▬ Ben oui, je le comprends parfaitement... Je vais voir ce que je peux faire...
Distraire l'entraîneur, avec ses yeux fixés sur la jeune femme, ce n'est pas gagné...
Cependant, devant l'imposante musculature d'Henri, le dragueur ne récidive pas.
Un peu plus tard, le couple resté seul, Julia joue la commère :
▬ N'empêche, tu as vu comme Élodie est belle...
▬ Heureusement, que c'est toi qui dis ça, ma chérie...
Julia en remet une couche :
▬ Et Anna... Tu as vu, elle rayonne de bonheur ! Tu connais le père de son bébé ?
▬ C'est peut-être Jean...
▬ Jean ?
▬ Jean Darme... Je plaisante, la vie privée d'autrui, ne nous regarde pas.
▬ Tu as raison, mon chéri... Qu'est-ce qu'on fait ?
▬ On fait du sport ! On est venu pour ça, non ?
La suite, chapitre 27 : Un tour en ville
▬ Ma chérie ! La journée s'est bien passée ? Demande l'époux.
▬ Assez bien, dans l'ensemble, il y a eu pire. Il y a quelqu'un, dans la salle de bain ?
▬ Oui, c'est Nancy, justement tu tombes bien, tu vas pouvoir lui venir en aide, elle s'est faite attaquée
par des régiments de puces !
▬ Qu'est-ce c'est que cette histoire ?
▬ Vas la voir, elle va t'expliquer... Julia frappe à la porte et demande :
▬ Je peux entrer, Nancy ?
▬ Oui, oui, entre donc Julia !
Nancy Plènozas raconte ses péripéties de la journée à son amie, pour conclure :
▬ Je suis vraiment navrée de vous importuner de la sorte et le pire c'est que je ne vais pas pouvoir renfiler
mes vêtements infestés de ces sales bêtes ! Julia propose :
▬ Je dois avoir ce qu'il faut à votre taille, je vous rapporte ça.
Un quart d'heure plus tard, Nancy rejoint ses amis dans la salle à manger :
▬ Merci, Julia, je passerai demain, te rendre tous ça.
▬ Si elle vous plaît, vous pouvez garder la robe, je déteste le jaune !
Henri crois bon de préciser pourquoi :
▬ Oui, sauf votre respect, Nancy, Julia, dit que le jaune est la couleur des cocus.
Bien que fatiguée, Julia réagit :
▬ Je t'en prie Henri, modère tes expressions ! Bon, je tombe de sommeil, bonne nuit...
Le jeune homme, lui, est en peine forme ! Devant la musique entraînante du Jukebox, il invite Nancy :
▬ Madame Plènozas, m'accorderiez vous cette danse ?
▬ Franchement, Henri, là, je n'ai pas du tout envie de danser... Et puis je dois rentrer chez moi,
Geoffrey va s’inquiéter et ce serait le comble qu'il me cherche à son tour.
Néanmoins, pour ne pas décevoir son ami, la blonde fait quelques pas de danse, embrasse son cavalier,
entre le nez et le menton, en guise d’au revoir, puis rentre chez elle.
Le lendemain, tard dans la matinée, Julia réveille son oiseau de nuit :
▬ Debout là dedans ! Il est presque midi, les grillades de Jasmine nous attendent !
Henri à un peu de mal de quitter son lit :
▬ Bonjour ma chérie ! Bon, ben, quand faut y aller, faut y aller...
▬ Comme tu dis, mon chéri, mais tu vas quand même t'habiller ; avant ?
▬ Naturellement ! Tu vas me chercher mes vêtements ? S'im te plaît, ma chérie...
Elles étaient délicieuses, les grillades de Jasmine ! Si on s'écoutait, on ferrait comme Hugues, on en reprendrait !
▬ Qu'est-ce qu'on fait, cet après midi ? Demande Julia. Henri a une idée :
▬ J'irais bien faire un peu de sport à "Bouge Ton Corps". Julia est partante :
▬ Oui c'est une bonne idée, mais les enfants vont s' ennuyer là-bas et on ne peut pas les laisser seuls ici.
Décidément, Huguette trouve toujours une parade :
▬ On est pas tout seuls, Jasmine est avec nous, on ira jouer dans la piscine...
Devant la salle de sport, les femmes de l'association, sont également venues s’exercer sur les différents appareils,
mis à disposition. Henri discute de techniques de sport avec madame Dyo, tandis que Julia félicite Anna :
▬ C'est pour bientôt, dis donc ! Dans un mois ?
Mettant fièrement son ventre rond en valeur, la future maman répond :
▬ Oui, c'est ça, à quelques jours près...
Bien qu'ayant revêtue sa tenue de sport, Anna, est restée prudemment assise, à encourager ses amies.
Henri demande :
▬ Élodie ne veut pas perdre son embonpoint ? Elle n'est pas avec vous ? Madame Dyo rétorque :
▬ Entre dans la salle, mon petit Henri... Et tu vas voir, comme Élodie à bien changée,
depuis la dernière fois que tu l'a vue...
Effectivement, Henri a du mal à reconnaître la jeune femme :
▬ Élodie ? C'est bien toi ?
▬ Ben, oui, je n'ai pas de sœur jumelle et je ne me connais pas de sosie...
Henri aurait bien ajouté quelques mots de compliments, mais l'arrivée de son épouse le laisse sans voix.
Le jeune homme reste planté là, quasiment au garde à vous. Élodie lui murmure :
▬ Je peux te demander un petit service, Henri ?
Le jeune homme craint le pire :
▬ Heu... Ça dépend quel petit service...
▬ Tu ne pourrais pas distraire l'entraîneur, il n'arrête pas de me draguer depuis que je suis arrivée.
▬ Ben oui, je le comprends parfaitement... Je vais voir ce que je peux faire...
Distraire l'entraîneur, avec ses yeux fixés sur la jeune femme, ce n'est pas gagné...
Cependant, devant l'imposante musculature d'Henri, le dragueur ne récidive pas.
Un peu plus tard, le couple resté seul, Julia joue la commère :
▬ N'empêche, tu as vu comme Élodie est belle...
▬ Heureusement, que c'est toi qui dis ça, ma chérie...
Julia en remet une couche :
▬ Et Anna... Tu as vu, elle rayonne de bonheur ! Tu connais le père de son bébé ?
▬ C'est peut-être Jean...
▬ Jean ?
▬ Jean Darme... Je plaisante, la vie privée d'autrui, ne nous regarde pas.
▬ Tu as raison, mon chéri... Qu'est-ce qu'on fait ?
▬ On fait du sport ! On est venu pour ça, non ?
La suite, chapitre 27 : Un tour en ville
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Chapitre 27 : Un tour en ville
Aujourd'hui c'est un jour férié, la famille Golant décide d'aller se balader en ville, jusqu'au Parc du Rivage.
C'est peut-être un jour férié, mais ce n'est pas carnaval... Que fait donc Nancy Plénozas,
plantée au beau milieu de la rue, dans cet accoutrement... Henri lui demande :
▬ Vous allez à un bal costumé Nancy ?
▬ Non, pourquoi ?
▬ Ben, ce survêtement jaune canari et ce chapeau...
▬ Non ! Pas jaune canari ! Jaune cocue ! Et le chapeau assorti, avec les cornes ! Je suis déshonorée...
▬ Ce n'est pas possible, Geoffrey ne vous a pas fait ça...
D'un pas rapide, la désespérée va se placer au milieu de la voie du tramway , Huguette crie :
▬ Attention ! Le tram arrive !
Rapide comme l'éclair, Henri attrape Nancy par un bras, pour la tirer hors de la trajectoire du véhicule.
Madame Plènozas est très irritée :
▬ Pourquoi, as-tu fais ça, Henri ! Tu m'as fait mal au bras ! J'ai envie de mourir !
▬ Parce que tu crois que je vais te laisser te suicider en t'applaudissant ?
Nancy, très déterminée, se replace sur la voie du tramway, en prévenant :
▬ Ne m'approche pas Henri ! Laisse moi en finir avec ma vie ! Le jeune homme essaye de la raisonner :
▬ Sois sensée, Nancy ! Tu n'es plus une gamine ! Et de plus, ce n'est pas un spectacle pour les enfants !
Qu'est-ce qui te fait croire, que Geoffrey t'as trompée?
▬ Je l'ai vu, de mes propres yeux ! Dans notre lit, avec la bonne !
▬ Je ne te crois pas ! Allez, viens, je te ramène chez toi, je veux entendre ça de la bouche de Geoffrey !
Nancy et ses amis déboulent au domaine Affluista à l'heure du déjeuner.
Geoffrey est relativement heureux :
▬ Quelle bonne surprise, mes amis, vous m'avez ramené ma renne ! Je vous en prie, installez vous et bon appétit !
▬ Allez, mon Casanova, raconte ta belle fable à nos amis ! Ordonne l'épouse. Geoffrey raconte :
▬ Oui, c'est vrai, hier soir, je suis rentré de ma dure journée de travail, complètement épuisé.
Je suis monté me mettre au lit sans demander mon reste. Je n'ai pas fait attention,
j'ai crus que c'était ma tendre épouse qui y dormait déjà.
Stéphane confirme les dires de son père :
▬ Oui, c'est vrai, maman ! Hier, j'ai vu Malcolm chahuter avec la bonne dans le lit. Ils étaient sous la couette
et il y avait un feu d'artifice au dessus. Après Malcolm est parti travailler et la bonne dormait profondément.
Même qu'elle ronfle comme toi ; la bonne ! Nancy demande à Henri :
▬ Tu y crois à cette histoire ?
▬ Ben oui, la vérité sort de la bouche des enfants !
Cela aurait pu être une bonne plaidoirie, mais Geoffrey aggrave son cas en affirmant à son épouse :
▬ Tu vois, c'est un malentendu, je te jure sur la tête de ma mère, que je ne t'ai jamais trompée.
Ce qui a pour effet de faire ressurgir la colère de Nancy :
▬ Geoffrey ! Arrête de te payer ma tête encornée ! Ta mère est morte depuis longtemps !
▬ Ah oui, c'est vrai, je ne m'y ferais jamais... Alors, tiens, je te le jure sur la tête de la plante vache,
qu'elle meure tout de suite, si je t'ai déjà trompée.
Il ne faut jamais jurer sur la tête de quelqu'un ! Bon, là, ce n'est qu'une plante...
Geoffrey Plènozas à sa conscience pour lui :
▬ Oui, c'est vrai, la plante vache est morte, je crois bien que le sort s'acharne contre moi.
Puis, changeant de sujet :
▬ Je voudrais vous faire voir quelque chose, mes amis... Vous avez encore un peu de temps ?
▬ Vous en avez dit trop ou pas assez, maintenant vous avez éveillé notre curiosité, répond Julia.
L'homme le plus riche du canton, a repris une affaire immobilière à Newcrest.
Il est fier de présenter sa dernière œuvre :
▬ Oui, c'est vrai, mes amis... Plutôt que de batifoler avec la bonne, j'ai réalisé ce lotissement :
Cinq maisons identiques, dans un esprit d'égalité, qui plus est, a permit de baisser le coût des travaux.
J'en ai déjà vendues quatre et une personne m'en a commandée une du même type,
qui va justement être construite à côté de chez vous. Henri demande :
▬ Nous allons avoir un nouveau voisin ?
▬ Oui, c'est vrai, vous allez avoir un nouveau voisin, mes amis ! Elle n'est pas belle, la vie ?
Voyons un peu voir à Willow Creek, ce que cela va donner depuis l'autre côté de la rive... Mais c'est magnifique !
Les jours suivants, de l'autre coté de la rue, la construction annoncée par Geoffrey,
semble avoir poussée comme un champignon. Henri propose :
▬ Allons souhaiter la bienvenue dans le quartier, à notre nouveau voisin !
▬ Qu'est-ce qui te fait dire que c'est un voisin, c'est peut-être une voisine... Fait remarquer Julia.
En toute logique, Henri déduit :
▬ Souviens toi,Geoffrey a dit que nous allons avoir un nouveau voisin... Pas une voisine !
Quand on parle du loup... Tout le monde est impatient de faire la connaissance du nouvel arrivant.
Henri est invité à entrer, tandis qu' Hugues partage son enthousiasme à sa sœur :
▬ Tu viens, Huguette, allons voir quelle tête il a, notre nouveau voisin !
La suite, chapitre 28 : Le nouveau voisin
C'est peut-être un jour férié, mais ce n'est pas carnaval... Que fait donc Nancy Plénozas,
plantée au beau milieu de la rue, dans cet accoutrement... Henri lui demande :
▬ Vous allez à un bal costumé Nancy ?
▬ Non, pourquoi ?
▬ Ben, ce survêtement jaune canari et ce chapeau...
▬ Non ! Pas jaune canari ! Jaune cocue ! Et le chapeau assorti, avec les cornes ! Je suis déshonorée...
▬ Ce n'est pas possible, Geoffrey ne vous a pas fait ça...
D'un pas rapide, la désespérée va se placer au milieu de la voie du tramway , Huguette crie :
▬ Attention ! Le tram arrive !
Rapide comme l'éclair, Henri attrape Nancy par un bras, pour la tirer hors de la trajectoire du véhicule.
Madame Plènozas est très irritée :
▬ Pourquoi, as-tu fais ça, Henri ! Tu m'as fait mal au bras ! J'ai envie de mourir !
▬ Parce que tu crois que je vais te laisser te suicider en t'applaudissant ?
Nancy, très déterminée, se replace sur la voie du tramway, en prévenant :
▬ Ne m'approche pas Henri ! Laisse moi en finir avec ma vie ! Le jeune homme essaye de la raisonner :
▬ Sois sensée, Nancy ! Tu n'es plus une gamine ! Et de plus, ce n'est pas un spectacle pour les enfants !
Qu'est-ce qui te fait croire, que Geoffrey t'as trompée?
▬ Je l'ai vu, de mes propres yeux ! Dans notre lit, avec la bonne !
▬ Je ne te crois pas ! Allez, viens, je te ramène chez toi, je veux entendre ça de la bouche de Geoffrey !
Nancy et ses amis déboulent au domaine Affluista à l'heure du déjeuner.
Geoffrey est relativement heureux :
▬ Quelle bonne surprise, mes amis, vous m'avez ramené ma renne ! Je vous en prie, installez vous et bon appétit !
▬ Allez, mon Casanova, raconte ta belle fable à nos amis ! Ordonne l'épouse. Geoffrey raconte :
▬ Oui, c'est vrai, hier soir, je suis rentré de ma dure journée de travail, complètement épuisé.
Je suis monté me mettre au lit sans demander mon reste. Je n'ai pas fait attention,
j'ai crus que c'était ma tendre épouse qui y dormait déjà.
Stéphane confirme les dires de son père :
▬ Oui, c'est vrai, maman ! Hier, j'ai vu Malcolm chahuter avec la bonne dans le lit. Ils étaient sous la couette
et il y avait un feu d'artifice au dessus. Après Malcolm est parti travailler et la bonne dormait profondément.
Même qu'elle ronfle comme toi ; la bonne ! Nancy demande à Henri :
▬ Tu y crois à cette histoire ?
▬ Ben oui, la vérité sort de la bouche des enfants !
Cela aurait pu être une bonne plaidoirie, mais Geoffrey aggrave son cas en affirmant à son épouse :
▬ Tu vois, c'est un malentendu, je te jure sur la tête de ma mère, que je ne t'ai jamais trompée.
Ce qui a pour effet de faire ressurgir la colère de Nancy :
▬ Geoffrey ! Arrête de te payer ma tête encornée ! Ta mère est morte depuis longtemps !
▬ Ah oui, c'est vrai, je ne m'y ferais jamais... Alors, tiens, je te le jure sur la tête de la plante vache,
qu'elle meure tout de suite, si je t'ai déjà trompée.
Il ne faut jamais jurer sur la tête de quelqu'un ! Bon, là, ce n'est qu'une plante...
Geoffrey Plènozas à sa conscience pour lui :
▬ Oui, c'est vrai, la plante vache est morte, je crois bien que le sort s'acharne contre moi.
Puis, changeant de sujet :
▬ Je voudrais vous faire voir quelque chose, mes amis... Vous avez encore un peu de temps ?
▬ Vous en avez dit trop ou pas assez, maintenant vous avez éveillé notre curiosité, répond Julia.
L'homme le plus riche du canton, a repris une affaire immobilière à Newcrest.
Il est fier de présenter sa dernière œuvre :
▬ Oui, c'est vrai, mes amis... Plutôt que de batifoler avec la bonne, j'ai réalisé ce lotissement :
Cinq maisons identiques, dans un esprit d'égalité, qui plus est, a permit de baisser le coût des travaux.
J'en ai déjà vendues quatre et une personne m'en a commandée une du même type,
qui va justement être construite à côté de chez vous. Henri demande :
▬ Nous allons avoir un nouveau voisin ?
▬ Oui, c'est vrai, vous allez avoir un nouveau voisin, mes amis ! Elle n'est pas belle, la vie ?
Voyons un peu voir à Willow Creek, ce que cela va donner depuis l'autre côté de la rive... Mais c'est magnifique !
Les jours suivants, de l'autre coté de la rue, la construction annoncée par Geoffrey,
semble avoir poussée comme un champignon. Henri propose :
▬ Allons souhaiter la bienvenue dans le quartier, à notre nouveau voisin !
▬ Qu'est-ce qui te fait dire que c'est un voisin, c'est peut-être une voisine... Fait remarquer Julia.
En toute logique, Henri déduit :
▬ Souviens toi,Geoffrey a dit que nous allons avoir un nouveau voisin... Pas une voisine !
Quand on parle du loup... Tout le monde est impatient de faire la connaissance du nouvel arrivant.
Henri est invité à entrer, tandis qu' Hugues partage son enthousiasme à sa sœur :
▬ Tu viens, Huguette, allons voir quelle tête il a, notre nouveau voisin !
La suite, chapitre 28 : Le nouveau voisin
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