Sims 4 [EN PAUSE] Les générations des Mac Andrews

[Dyo]

Les fondateurs, Elisabeth et Oliver Mac Andrews
​

Prologue

L'histoire débute dans les années 1837. Oliver a rencontré Elisabeth lors du couronnement de la reine Victoria, jeune fille timide qui sortait d'un couvent. Abandonnée à la naissance par sa mère, les sœurs ont pris l'enfant et l'ont éduquées. A la majorité de la jeune demoiselle, Oliver l'a pris pour épouse.

• Chapitre 1
• Chapitre 2
• Chapitre 3
• Chapitre 4
• Chapitre 5
• Chapitre 6
• Chapitre 7
• Chapitre 8
• Chapitre 9
• Chapitre 10
• Chapitre 11

 

[Dyo]

Chapitre 1

Spoiler

Oliver ne roule pas sur l'or, enfin pas encore. C'est un écrivain, pas très connu encore, mais il est publié. Avec les petites économies qu'il a amassé, il a pu acheté cette petite maison pour y installer son épouse, la belle Elisabeth.

Quand Oliver pénétra dans la pièce principale, il y vit sa belle épouse assise sur le sofa. Elle était perdue dans la contemplation du feu de cheminée. Une véritable beauté.

Il vint s'asseoir à ses côtés, sans la surprendre.
- Vous êtes pensive Milady ?
Elisabeth se tourna vers son époux, intimidé.
- Je tente de prendre mes marques dans ma nouvelle demeure Milord.
- C'est une humble maison, pas vraiment une demeure, j'aurais tellement aimer vous offrir une grande maison Milady, mais mon père avait contracté énormément de dettes de jeu et à sa mort, j'ai du tout vendre pour rembourser les créanciers.
- Ne vous en faites pas Milord, c'est une bien jolie maison et je m'y sens très bien. J'ai enfin un chez moi.
- J'en suis heureux. Bientôt nous pourrons engager une gouvernante.
- Oh mais non Milord, je peux gérer la maison moi-même, je le faisais chez les sœurs.
- Je sais Milady, mais j'espère que vous vous intégrerez dans la société et alors, vous n'aurez plus le temps de gérer la maison.

Elisabeth regarda fixement son époux...
- Qu'entendez-vous par " m'intégrer dans la société " Milord ?
- Ma chère, dans mon monde, nos épouses s'occupent d’œuvres de charité, et donc, participent à des bals afin de collecter des fonds, elles jouent beaucoup aux cartes et prennent le thé dans des salons.
- Mais je ne connais personne !
- Ma cousine Berthe, qui est l'épouse d'un capitaine de navire, connait énormément de monde et elle a l'intention de vous emmener prochainement avec elle. Ainsi, vous ferez la connaissance du beau monde de Newcrest et d'une partie de ma famille par la même occasion.

- J'aime beaucoup cette cuisine, elle est chaleureuse.
- J'aurais aimé vous offrir une véritable salle à manger Milady, vous méritez bien mieux qu'une simple cuisine.
Elisabeth regarda son époux, perplexe.
- C'est bien mieux qu'une salle à manger Milord, en plus, il y fait bon.
Oliver soutint le regard de sa belle mais ne rajouta rien. Il se jura intérieurement, d'écrire pleins de livres afin de donner à son épouse la maison qu'il lui faut, et suffisamment grande pour y élever des descendants.

Après le repas, Elisabeth s'enferma dans la salle d'eau et se plongea dans un bon bain moussant. Chose qu'elle n'avait pas au couvent, se contentant d'un baquet en bois une fois par semaine.
- Ça fait du bien hein ?
Elisabeth sursauta et poussa un cri.
- Qui est là ?
- Je suis le narrateur, une simple voix et je vais t'accompagner toi et les tiens jusqu'au dernier né.
- Mais vous êtes où ? Je ne vous vois pas.
- Je suis invisible, tu peux juste entendre ma voix.
- Comme Dieu ? Les sœurs m'ont parlé de vous, mais sans jamais vous voir.
- Non, je ne suis pas dieu, je suis juste une voix.
- Cessez de rire ! Vous vous moquez de moi !
- Absolument pas Milady, je ne me moque pas de toi, je ris juste parce que tu me compares à Dieu.
- Vous me voyez alors ?
- Oui, je te vois cher enfant.
- Alors tournez vous, je ne veux pas que vous me regardiez dans mon bain.

- Très jolie salle de bain. Minimaliste mais très jolie.
- Pas minimaliste monsieur la voix, au couvent, c'était minimaliste, ici, c'est une demeure avec tout le confort et la chaleur d'un foyer.
- Madame la voix, je suis une femme, pas un homme. Si j'avais été un homme, je serais resté derrière la porte.
- Et bien, attendez moi de l'autre côté de la porte, j'ai terminé et je voudrais m'habiller maintenant.
- Vos désirs sont des ordres Milady. Je vous attends dans votre chambre.

Après s'être séché les cheveux et enfilé sa robe, Elisabeth alla s'asseoir sur son lit et regarda le paysage par la fenêtre.
- Vous êtes ici actuellement, madame la voix ?
- Oui, je suis ici.
- Vous croyez que j'arriverais à rendre mon époux heureux ?
- Bien sur et je peux même l'affirmer. Oliver t'aime et il fera tout son possible pour te rendre heureuse. Il te donnera ce que tu n'as jamais eu, une famille.
- Je n'ai jamais connu....d'homme dans ma vie, je ne sais pas comment on fait.
- Tu le sauras, le moment venu et Oliver te guidera, laisse-toi aller. Aller, je te laisse tranquille, repose-toi.

Chapitre 2

 

[Sophie Stiquet]

Tu te relances dans les histoires ?

 

[Dyo]

Oui

 

[DaMottoo]

A la fin, ça fait glauque (le laisse toi aller mdrr). Non mais j'ai une mauvaise imagination c'est tout. J'aime l'histoire, j'aime les vestes grises et de surcroît 90% de mes sims étaient écrivains ou peintres ; Les 8 autres pour cents sont toujours dans l'art (virtuose et autres) .
J'aime l'art.

 

[Mystie]

Super ! Donner au narrateur une puissance pareille... ça ne peut que présager de bonnes choses !

 

[Dyo]

Chapitre 2

Spoiler

Alors qu'Elisabeth descendit pour ranger son livre, elle s'arrêta sur le palier. Oliver était en train d'écrire sur la machine.
- Vous souhaitez dîner Milord ?
- Pas dans l'immédiat, j'irais manger un en-cas un peu plus tard, je voudrais terminer ce chapitre.
- Pourrais-je le lire ?
- Quand il sera terminé, je vous le ferais lire.
- C'est pas l'endroit idéal pour écrire Milord, il vous faudrait un bureau.

- Le seul endroit libre, c'est le grenier, mais on y a pas accès, répondit Oliver à sa jeune épouse.
- Et il n'y a pas moyen d'y accéder ?
- Il faudrait un charpentier et un menuisier, mais je n'ai pas les fonds nécessaire pour l'instant.
Elisabeth le regarda, il avait l'air pensif.
- Je vous laisse travailler Milord, je vais aller faire un gâteau pour quand vous aurez faim, ensuite j'irais me coucher.
- Je vous rejoindrais plus tard Milady.

- Alors Elisabeth, que nous prépares-tu ?
- Vous m'avez fait peur ! sursauta la jeune femme en entendant ma voix.
- Désolée, ce n'était pas mon intention. Alors ? Tu fais quoi de bon ?
- Des biscuits au sucre, Oliver écrit et je ne veux pas le déranger. Ensuite j'irais faire une promenade, ça m'aidera à me détendre.
- Tu es tendue ?
- J'ai un peu peur de ce qui va se passer par la suite, je n'ai jamais quitté le couvent.
- Mais non, n'est pas peur, Oliver est quelqu'un en qui tu peux avoir confiance.
- Vous le connaissez bien on dirait !
- Oui, je le suis depuis son plus âge, même si il fait style qu'il ne m'entend pas.
- Vous êtes son ange gardien alors ?
- En quelque sorte oui.

Après avoir fait une petite promenade dans le parc environnant, Elisabeth s'arrêta près d'un parterre de fleurs.
- Tu te sens plus détendue ?
- Oui, je me sens mieux. Regardez, j'ai cueilli une fleur de Muflier, je vais pouvoir planter une graine et faire pousser des fleurs devant la maison.
- Oui, elle est très jolie.

- Elisabeth ? Tu avais laissé la porte ouverte ?
- Non, je l'ai bien fermé pourquoi ?
- Parce qu'elle est entrouverte.
- Oliver !? hurla Elisabeth.

Elisabeth couru dans la maison en criant le nom de son époux.
- Oliver vous êtes là ?
- Oui, répondit l'intéressé. Je suis en train de travailler, que se passe-t'il ?
- Merci mon dieu, soupira Elisabeth.

Oliver descendit les marches quatre à quatre.
- Que se passe-t'il ma bien aimée ?
- La porte était ouverte, j'ai cru que....j'ai eu peur qu'on....
- Mais non, vous n'avez rien à craindre, la porte se ferme mal, faudra la faire réparer.
- Merci mon dieu.

Prenant les mains de la jeune femme, Oliver murmura.
- Venez, allons dormir, il se fait tard.
- Mais vous n'avez rien mangé ?
- Je mangerais plus tard Milady, venez.

Une fois prête pour la nuit, Elisabeth sentit l'appréhension l'engloutir.
- Oliver ? Je n'ai jamais....enfin, je ne sais pas comment on fait, murmura-t-elle.
- Ne vous inquiétez pas Milady.
Nous n'allons pas regarder ce qu'ils vont faire, allons, allons, venez ! Laissons nos tourtereaux tranquilles.

En plein milieu de la nuit, notre don Juan descendit manger des biscuits, faut dire que ça creuse. Visiblement, tout c'est bien passé, il a l'air heureux.
Je vais aller le questionner un peu.

- Tu as l'air pensif Oliver...
- Tiens te revoilà toi, je te croyais perdu à tout jamais.
- Tu sais bien que non, je suis toujours à tes côtés même si parfois je reste silencieuse.
- Ah bon, tu sais faire ça ?
- Faire quoi ?
- Rester silencieuse.
- Très drôle! Alors ? Raconte moi tout.
- Elle est merveilleuse.
- Et ?
- Et rien d'autre, je n'ai pas l'intention de te faire des dessins.

- Mais attends, tu ne peux pas me laisser comme ça !
- Bien sur que si, je vais dormir et toi tu restes de l'autre côté de la porte, tu m'as bien compris.
- Aller, dis moi ? C'était comment ?
- Prends un livre et tu sauras comment c'est la première fois.
- Oliver !
- Bonne nuit la voix.
Oliver entra dans la chambre et ferma la porte. Je pourrais aisément entrer ou traverser le mur, mais je ne le ferais pas, j'attendrais qu'Elisabeth m'en dise un peu plus.

 

[Dyo]

chapitre 3

Spoiler

C'est aux aurores que j'aperçue Elisabeth, elle était déjà aux fourneaux, et ça sentait délicieusement bon.
- Bonjour belle dame.
- Bien le bonjour madame la voix. Avez-vous bien dormi ?
- Bien et toi ?
- J'ai eu un peu de mal, voyez-vous, j'avais pour habitude d'entendre soeur Clothilde respirer profondément, du coup, tout ce silence a perturbé mon sommeil.
- Elle ronflait en somme...
- Une dame ne ronfle pas, elle respire profondément, coupa Elisabeth.

- Si vous le permettez la voix, j'aimerais finir de préparer le petit déjeuner de mon époux.
- Mais fais donc, Elisabeth, je vais rester à te regarder.
- J'aimerais autant que vous alliez faire une petite promenade, vous me troublez.
- Ah ! Bon d'accord, je vais aller faire un tour, si tel est ton souhait.
Ben ça alors, c'est qu'elle a du caractère la petite, moi qui la prenait pour une timide, je me suis trompée.

Ma promenade terminée, en fait, je suis allée encadre la jolie photo des fondateurs et Oliver l'a placé sur le manteau de la cheminée, je retrouve donc, mes fondateurs dans le salon...Vous la voyez la jolie photo ?... J'en étais où moi....ah oui, je retrouve mes fondateurs en grande discussion. Elisabeth prenant le thé et Oliver quelque peu pensif.
- Milady, ma grand-tante ne pourra pas venir aujourd'hui, cela m'ennuie, j'aurais aimé que vous alliez au salon de thé.
- Ce n'est rien Milord, je peux très bien rester à la maison et lire.
- Toute la journée ? Non, non, ce n'est pas envisageable, et il faut absolument que je termine mon livre.
- Oh ! Vous avez peur que je vous gène ?
- Mais non, pas du tout, oh Milady, je n'ai jamais pensé une chose pareil. J'ai peur que l'ennui vous prenne, et comme vous ne connaissez pas la ville...
- Ne vous inquiétez pas mon ami, je peux me débrouiller toute seule, allez travailler.

- Bien, je vous laisse aller vous promener alors, mais faites bien attention à vous surtout.
- Je ferais attention, et vous, pensez à vous nourrir, ne restez pas trop longtemps sur votre machine.
- J'attends avec impatience votre retour Milady.
- A plus tard Milord.

- La voix, tu es là ? Je sais que tu es là, alors écoute moi bien, je te confie Elisabeth, ne la lâche surtout pas des yeux.
- Promis...
- Je compte sur toi, et n'oublie pas, si il lui arrive quoique ce soit, tu peux dire adieu à ton histoire, il n'y aura pas d'autre épouse et donc pas d'héritiers, suis-je clair ?
- Très très clair...dis moi, Oliver, tu es certain que tu as assez dormi, je te trouve à cran aujourd'hui.
- J'ai très bien dormi, j'ai juste peur de la perdre c'est tout.
- Tu peux me faire confiance, je vais la suivre partout où elle ira, enfin sauf...
- Partout où elle ira, je compte sur toi.
- Oui...enfin...sauf aux toilettes hein, je vais pas l'ennuyer dans ces moments là.
-C'est évident, allez file.

Une fois dans la rue, j'avais beau chercher partout, impossible de trouver Elisabeth, et voilà, ça va encore me tomber dessus, Oliver va me passer un savon. C'est vrai que c'est de sa faute, il n'avait qu'à pas me parler des conséquences et bla bla bla. Je tente le coup, et je file au marché. Bingo, la voilà qui entre justement.

Je la trouve confortablement installée à une table de carte en compagnie de dames.
- C'est la première fois que je vous vois au salon, lança la dame rousse à Elisabeth.
- Oui, répondit la jeune femme, je suis Elisabeth Mac Andrews.
- L'épouse d' Oliver, l'écrivain ? questionna la dame blonde.
- Mais oui, murmura la brune à la blonde, c'est l'orpheline qu'Oliver a pris pour femme.
- Heum !.. Mesdames, si vous pouviez cesser vos messes basses, on pourrait reprendre la partie, annonça la dame rousse en regardant Elisabeth. Je me présente, Moira Fyres, et voilà Mila Munch et Nancy Plénozas.
- Oui, je suis un peu snob parfois, je vous présente mes excuses Elisabeth.
- Acceptées, murmura la jeune épouse, veuillez m'excuser mesdames, mais je dois rentrer, j'ai été enchanté de jouer une partie de cartes avec vous.
- Le plaisir était pour nous Elisabeth, répondit Moira Fyres, et j'espère vous rendre visite bientôt.
- Vous serez la bienvenue.

- Tout va bien Elisabeth ?
- Oui, je pense avoir trouvé une amie. J'apprécie beaucoup Moira Fyres, vous la connaissez ?
- Non pas vraiment, par contre Oliver doit la connaitre, tu devrais le questionner en rentrant.
- Il faut que je me dépêche à rentrer, la nuit va tomber et j'ai peur ne pas trouver de fiacre.
- Je te suis.

A peine la porte refermée, qu'Oliver vint à la rencontre de son épouse.
- Vous avez passé une bonne journée Milady ?
- Oui, je suis allée au salon de thé, j'y ai rencontré des dames. Moira Fyres entre autre, vous la connaissez ?
- Oui, je connais surtout son époux mais tante Clothilde connait mieux Moira, elles jouent aux cartes ensemble.
- J'ai aussi rencontré Nancy Plénozas et Mila ....oh j'ai oublié son nom de famille...
- Munch, Mila Munch.
- Oui, c'est ça, Mila Munch. Nancy et Mila vous connaissent bien visiblement.

- Oliver ? J'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas, vous êtes tout pâle.
- C'est que.....voyez-vous.... Milady, j'ai un secret à vous dire, mais c'était avant qu'on ne se rencontre et ça n'a jamais compter, c'était juste comme ça.
- Vous me faites peur Oliver.
- J'ai eu une liaison avec Mila, souffla Oliver.

-Oh !! Je comprends mieux ses remarques.
- Des remarques Milady ? Mila a été désobligeante avec vous ?
- Non, pas directement, mais n'en parlons plus, c'est le passé n'est-ce pas ?
- Oui Milady, c'est le passé.

Alors qu'Oliver repris l'écriture de son livre, je partis à la recherche de notre douce Elisabeth, je l'ai trouvé légèrement froissé tout à l'heure.
- Tout va bien Elisabeth ?
- Oui, murmura-t'elle.
- Tu n'en as pas l'air ?
- Je me repose madame la voix, ça ne vous dérange pas de me laisser un petit moment ?
- Non bien sur. A plus tard, reposez-vous.

 

[3lodiie]

Les pipelettes autour du jeu de cartes me font penser aux filles dans Desperate Housewives

(Je t'ai corrigé tu avais oublié le mot "fois" à la réplique de Moira ! ^^ )

 

[Dyo]

Merci