- 6 Janvier 2009
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Chapitre 9
- La maison vous plait Madame ? Demanda Amélie à Elisabeth.
- Oui Amélie, j'avoue apprécier les quelques pièces terminées et tout particulièrement la salle à manger.
- C'est vrai qu'elle est bien jolie Madame, c'est aussi un plaisir pour mes yeux.
- Merci pour le dîner Amélie.
- Mais de rien Madame.
Il est vrai que c'est pas évident de rendre cette maison chaleureuse avec le peu de moyen du foyer. Même en vendant les toiles d' Elisabeth, les fleurs et les légumes récoltés et les droits d'auteurs d'Oliver, ce n'est pas suffisant. Quoique ça ne devrait plus tarder à aller mieux financièrement, les livres d'Oliver lui rapportent un peu plus quotidiennement.
Le lendemain matin, Elisabeth se leva tôt pour voir la petite Charlotte avant qu'elle ne parte pour l'école.
- Tu as bien dormi ma chérie ?
- Oui maman, et vous ?
- Très bien, même si papa ronfle un peu. Tu as fait tes devoirs ?
- Oui, je les ai fait avec Amélie. Je peux sortir de table maman, je vais être en retard pour l'école.
- Oui, va mon enfant, passe une bonne journée.
- Vous aussi maman. A ce soir.
- Alors Oliver, tu as décidé de travailler à la maison ? Les collègues ne te manquent pas ?
- Non, Dyo, j'aime bien travailler ici.
- Ah bon ? Pourtant ton bureau n'est pas terminé.
- Je sais, mais du moment que j'ai un bureau et ma machine a écrire, ça me va.
- Tu crois pas qu'on pourrait éventuellement, mettre une tapisserie et un parquet...
- On en a pas encore les moyens, à moins que tu ne trouves une valise remplie de billets, les murs devront attendre.
- Grand dieu Amélie, mais que faites-vous donc ?
- J'attendris la viande Dyo, je veux que mon sauté asiatique soit une merveille.
- Hummm , mais quoique vous fassiez, c'est une merveille. Mais dites moi, là non plus les murs et les sols n'ont pas été fait.
- Et oui, on peut pas tout avoir, une grande cuisine fonctionnelle et des carreaux aux murs et au sol.
- J'ai l'impression d'entendre Oliver.
- Monsieur, fera les faire les travaux quand il le pourra.
- Mouai. Vous avez vu Elisabeth et Charlotte, j'ai entendu la petite tout à l'heure.
- Ces dames doivent être au salon .
- Bien, je vous laisse à votre viande alors.
- Ah vous êtes là ! Je vous cherchais ! Alors mademoiselle Charlotte, comment c'est passé l'école ?
- J'aurais préféré rester à la maison.
- Mais pourquoi donc ma chérie ? Demanda Elisabeth.
- Ben voyez-vous maman, les autres élèves me regardent bizarrement.
- Et ils te regardent comment ?
- Je ne pourrais vous le dire, mais les filles chuchotaient dans la cour et j'ai entendu une fille dire, « c'est les nouveaux qui montrent qu'ils sont riches mais ils sont pauvres ».
- N'y faites pas attention mademoiselle Charlotte, vous savez les filles sont jalouses parce que vous êtes plus jolie.
- Dyo a raison Charlotte, ne faites pas attention aux vipères.
- Bien dit Elisabeth.
Au dîner Charlotte supplia son père pour avoir une jolie maison de poupée.
- Elle est tellement belle papa, je l'ai vu dans la vitrine du magasin en face de l'école.
- Et si tu la commandais pour Noël ?
- Mais papa, c'est loin Noël.
- Je ne peux pas faire autrement ma chérie, si je pouvais, je te l’achèterais dès demain.
- Alors les filles ont raison, nous sommes pauvres, murmura Charlotte.
- Non ma chérie, nous ne sommes pas pauvres, répondit Elisabeth. Nous commençons notre nouvelle vie, et nous avons mis toutes nos économies dans l'achat de cette jolie maison.
- Mais elle est pas fini encore maman, ma chambre n'a pas de papiers sur le mur.
- Dès demain, je fais venir un ouvrier pour faire ta chambre, répondit Oliver, une princesse doit avoir une jolie chambre.
- Merci beaucoup papa, j'ai hâte d'être à demain.
Alors que je pensais tout le monde au lit, Oliver me fit une frayeur en débarquant dans les escaliers.
- Mais que fais-tu debout à une heure pareille ? Murmurai-je afin de ne pas réveiller les filles.
- Je travaillais dans mon bureau.
- Aussi tard ?
- Oui, j'ai fini mon autre livre, je vais pouvoir faire la chambre de Charlotte.
- Tu as l'air d'un mort-vivant.
- Je suis épuisé, je l'avoue. Bonne nuit la voix.
- Bonne nuit Oliver.
- Oui Amélie, j'avoue apprécier les quelques pièces terminées et tout particulièrement la salle à manger.
- C'est vrai qu'elle est bien jolie Madame, c'est aussi un plaisir pour mes yeux.
- Merci pour le dîner Amélie.
- Mais de rien Madame.
Il est vrai que c'est pas évident de rendre cette maison chaleureuse avec le peu de moyen du foyer. Même en vendant les toiles d' Elisabeth, les fleurs et les légumes récoltés et les droits d'auteurs d'Oliver, ce n'est pas suffisant. Quoique ça ne devrait plus tarder à aller mieux financièrement, les livres d'Oliver lui rapportent un peu plus quotidiennement.
Le lendemain matin, Elisabeth se leva tôt pour voir la petite Charlotte avant qu'elle ne parte pour l'école.
- Tu as bien dormi ma chérie ?
- Oui maman, et vous ?
- Très bien, même si papa ronfle un peu. Tu as fait tes devoirs ?
- Oui, je les ai fait avec Amélie. Je peux sortir de table maman, je vais être en retard pour l'école.
- Oui, va mon enfant, passe une bonne journée.
- Vous aussi maman. A ce soir.
- Alors Oliver, tu as décidé de travailler à la maison ? Les collègues ne te manquent pas ?
- Non, Dyo, j'aime bien travailler ici.
- Ah bon ? Pourtant ton bureau n'est pas terminé.
- Je sais, mais du moment que j'ai un bureau et ma machine a écrire, ça me va.
- Tu crois pas qu'on pourrait éventuellement, mettre une tapisserie et un parquet...
- On en a pas encore les moyens, à moins que tu ne trouves une valise remplie de billets, les murs devront attendre.
- Grand dieu Amélie, mais que faites-vous donc ?
- J'attendris la viande Dyo, je veux que mon sauté asiatique soit une merveille.
- Hummm , mais quoique vous fassiez, c'est une merveille. Mais dites moi, là non plus les murs et les sols n'ont pas été fait.
- Et oui, on peut pas tout avoir, une grande cuisine fonctionnelle et des carreaux aux murs et au sol.
- J'ai l'impression d'entendre Oliver.
- Monsieur, fera les faire les travaux quand il le pourra.
- Mouai. Vous avez vu Elisabeth et Charlotte, j'ai entendu la petite tout à l'heure.
- Ces dames doivent être au salon .
- Bien, je vous laisse à votre viande alors.
- Ah vous êtes là ! Je vous cherchais ! Alors mademoiselle Charlotte, comment c'est passé l'école ?
- J'aurais préféré rester à la maison.
- Mais pourquoi donc ma chérie ? Demanda Elisabeth.
- Ben voyez-vous maman, les autres élèves me regardent bizarrement.
- Et ils te regardent comment ?
- Je ne pourrais vous le dire, mais les filles chuchotaient dans la cour et j'ai entendu une fille dire, « c'est les nouveaux qui montrent qu'ils sont riches mais ils sont pauvres ».
- N'y faites pas attention mademoiselle Charlotte, vous savez les filles sont jalouses parce que vous êtes plus jolie.
- Dyo a raison Charlotte, ne faites pas attention aux vipères.
- Bien dit Elisabeth.
Au dîner Charlotte supplia son père pour avoir une jolie maison de poupée.
- Elle est tellement belle papa, je l'ai vu dans la vitrine du magasin en face de l'école.
- Et si tu la commandais pour Noël ?
- Mais papa, c'est loin Noël.
- Je ne peux pas faire autrement ma chérie, si je pouvais, je te l’achèterais dès demain.
- Alors les filles ont raison, nous sommes pauvres, murmura Charlotte.
- Non ma chérie, nous ne sommes pas pauvres, répondit Elisabeth. Nous commençons notre nouvelle vie, et nous avons mis toutes nos économies dans l'achat de cette jolie maison.
- Mais elle est pas fini encore maman, ma chambre n'a pas de papiers sur le mur.
- Dès demain, je fais venir un ouvrier pour faire ta chambre, répondit Oliver, une princesse doit avoir une jolie chambre.
- Merci beaucoup papa, j'ai hâte d'être à demain.
Alors que je pensais tout le monde au lit, Oliver me fit une frayeur en débarquant dans les escaliers.
- Mais que fais-tu debout à une heure pareille ? Murmurai-je afin de ne pas réveiller les filles.
- Je travaillais dans mon bureau.
- Aussi tard ?
- Oui, j'ai fini mon autre livre, je vais pouvoir faire la chambre de Charlotte.
- Tu as l'air d'un mort-vivant.
- Je suis épuisé, je l'avoue. Bonne nuit la voix.
- Bonne nuit Oliver.
c'est ça d'avoir 4 chapitres en avance